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Adresse aux z’égo’matiques qui encombrent les bronches de ce pays,  plus contaminants les uns que les autres pour finir

Pour en finir avec les « Manifêtes » rituelles

Organisées pour le plus grand bonheur des Hachichines en place

À croc de viande humaine depuis l’enfance

Et en particulier de globules rouges et blanches

D’enfants sacrifiés en loges « macronikes »

Des « zégotiques » compulsifs s’attribuent le © d’infos, (c’est moi l’premier), concernant la recréation des camps de concentration/exterminateurs. C’est oublier que la nouvelle vague exterminatrice a commencé par nos Anciens dans les EHPAD concentrationnaires.

Qui s’en souciait ?

Très peu de monde en vérité. En tout cas, pas les héritiers avides, ni les Blackrock et compagnies qui s’en frottaient les mains de concert. Alors que les couineurs d’aujourd’hui ne se sentaient pas vraiment en danger, donc concernés, laissant de fait la situation pourrir, et donc, la gangrène s’établir puis se propager au corps tout entier. À présent, nous voilà bien ! Et ce ne sont pas quelques « manifêtes » rituelles dont il faudrait attendre qu’elles viennent à bout de ce merdier qui pue la mort à plein nez depuis un bon moment déjà. Bien avant la grande embrouille du fameux fumeux covid dans les cartons depuis longtemps déjà. Qui se souciait des pays dits émergents dont les populations servirent de cobayes durant des decennies ?! Combien de divisions ?! Personne ou presque !

Indifférence que nous payons aujourd’hui !

Après les Vieux voilà venu le tour des enfants (quoi que cela ne date pas d’aujourd’hui). SILENCE !

Pour ainsi dire…

C’est bien la peine de les couvrir de paquets de Noël si c’est pour les abandonner ensuite à des monstres armés d’aiguilles, destinées à leur faire leur fête, sans broncher plus que ça, bandes de « zégos » gros comme ça. Et de se bousculer au portillon pour se prévaloir, se faisant valoir à qui mieux-mieux. 

Et d’entonner en cœur 

Liberté ! Liberté ! Liberté !

C’est bien joli tout ça…

Autant souffler dans le vide

Comme dans un ballon vide and Co

Liberté ! Liberté ! Liberté !

Mort de rire

Cocorico

Moi-moi-moi…

Pauvres bagnards de longue date en vérité

Ayant travaillé pour le système pendant des années

Alors que d’autres s’y coltinaient à leurs risques et périls  

Laminés à l’époque par les pleurnicheurs d’aujourd’hui

Rêvant de réintégrer ce putain de système mortifère

Criant, criant, hurlant comme des écorchés à l’automne des cochons

Leur tour étant venu comme de juste

En toute logique

Et la Toussaint pour tout l’monde à la fin

Un peu comme les grenouilles dans la mare

Attirant les prédateurs dans le noir

Leur taillant vite fait bien fait un costard

À la nuit tombée

Les pieds mouillés de sang giclé

Celui de la grenouille éviscérée

Croa ! Croa ! Croa !

Je crois

En croix

Crucifié par les prélats

De la religion dans laquelle elle croit

La pauvre grenouille aux abois

Dans la casserole pour le repas

Croa ! Croa ! Croa !

Au final la milice et la gestapo sont de retour à la maison

Plus belle la vie !

Et ce n’est pas avec des « manifêtes » galipettes de majorettes

Qu’il sera obtenu un renversement de situation à la baïonnette

Pour en finir avec les nouveaux soviets 

Peur de mourir ?!

Ou bien prêt à donner sa vie pour plus grand que Soi ?

Pardonnez-moi pour ces propos un peu raides, mais les temps présents ne se prêtent plus aux salamalecs. Après tout, ne sommes-nous pas des mecs ?!

Bonne année chers zégos grenouillettes se prenant pour des bœufs.

Oui !

Des bœufs.

Quant à 2022 vous savez ce qui vous pend au nez à l’allure où vous allez. À moins de changer de braquet en bon ordre et créativité. Je nous le souhaite à toutes et à tous, au pas de charge.

Prêt pour la victoire ?

Ou bien résigné à la défaite ?

Bien à vous

Bernard-Alex 

Artiste plasti'cœur,

Anarque indécrottable

 

PS : N’hésitez pas à me rentrer dans les plumes si vous vous sentez blessés. Si vous me trouvez injuste ou quelque chose dans ce genre, n’hésitez pas à me le signaler, me permettant de rectifier le tir et de m’amender. Ou bien à persister dans la logique empruntée à force d’observer les moulinés en l’air, qui ne mènent nulle part, mis à part l’abattoir.

 

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