Le Covid-19, pandémie grave ou simple prétexte à la mise en place d’un régime liberticide sous des allures sécuritaires?
L’humanité a retenu son souffle. En cause, un virus surnommé Covid-19 aurait généré une pandémie planétaire. Les scientifiques mandatés par les Etats et les organismes supranationaux, sont financés par les gros bras du marché de la Haute Finance. Tous sans exception. Nous pouvons listés l’Imperial College London, mais aussi la John Hopkins University, l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, celle de Zurich, etc. La liste est longue.
Les médias les plus prestigieux bénéficient à leur tour de sommes affolantes provenant des mêmes sources. Même les médias de langue allemande sont richement sponsorisés. Une impasse déontologique, éthique et démocratique.
Les chiffres les plus fous sont balancés à chaque instant sur l’ensemble des médias. A chaque heure du jour et de la nuit. Dans chaque langue de la planète.
C’est si vrai, et si scandaleux que deux journalistes d’investigation médicale Catherine Riva, Serena Tinari ont tenté de mettre le holà en publiant un article Médias suisses et coronavirus: cesser de nourrir la peur dont voici un extrait:
« Nous observons avec préoccupation que la couverture médiatique actuelle de l’épidémie de coronavirus est avant tout anxiogène et émotionnelle. Cela tient au moins à deux facteurs: d’un côté, à une présentation des chiffres qui ne permet pas de se faire une idée aussi réaliste que possible de la gravité de l’épidémie et de la manière dont elle évolue en Suisse; de l’autre, à la tendance à monter en épingle des cas individuels peu représentatifs ou des situations très particulières comme celle de Bergame (Italie), sans mise en perspective.
De fait, le public suisse ne dispose pas des informations nécessaires dont il aurait besoin pour juger si les mesures prises au nom de sa protection lui semblent acceptables et justifiées, notamment au regard des effets négatifs que lesdites mesures déploient déjà et déploieront de plus en plus, entre autres sur la santé des habitants.«
Peur et confusion sont devenues le lot quotidien générées par le couple politiciens-médias officiels agissant de concert. Ainsi, l’information est soumise aux autorités politiques. Décomplexé, l’Etat policier semble s’installer.
Voici ce que nos journalistes d’investigation écrivent au sujet de la gestion de la crise en Suisse:
«Sept journalistes d’une radio et télévision de service public sont venus aider l’Etat-major de crise cantonal placé sous la direction de la police à communiquer à la population des contenus préparés main dans la main avec les autorités»
Médias alternatifs, la galère promise: Loi AVIA
En parallèle, les médias alternatifs sont dans l’oeil du cyclone. Restent plus que les petites mains et les petites voix du Net, des cabinets de famille, et autres youtubeurs. Humiliés et censurés par les ministères de la pensée, forcément financés par les mêmes, tentent vaille que vaille de corriger l’information et d’alerter sur les dangers existentiels que présentera le Nouveau Monde pour la masse des gens à qui des personnages déjantés promettent à qui mieux mieux des technologies qui devraient les fusionner aux machines…
Tous les jours, les médias vous annoncent par petites touches l’ensemble des technologies qui vous sont promises pour mettre en place un nouvelle techno-humanité génétiquement modifiée. L’information bien présente mais morcelée n’est pas prise au sérieux par la masse non informée et qui continue de croire que c’est de la science fiction. Pourtant, il s’agit d’une actualité brûlante.
Revenons à nos médias alternatifs qui s’évertuent à donner au citoyen de base une vision globale de l’apocalypse à venir. Eh bien pour achever de les museler, une loi AVIA vient d’être votée. Cette loi controversée a été adoptée par l’Assemblée Nationale et prendra effet le 1er juillet 2020.
« Laetitia Avia peut triompher. Alors qu’elle est gravement mise en cause dans une enquête de Mediapart lui reprochant justement des propos à connotation sexiste, homophobe et raciste, la députée de La République en marche est parvenue à faire voter définitivement sa proposition de loi contre la haine en ligne à l’Assemblée nationale, le 13 mai 2020, après un long parcours parlementaire.
Dans les grandes lignes, le cœur du texte n’évolue pas fondamentalement par rapport aux versions précédemment discutées par les élus. Le texte de loi obligeant les plateformes ayant un forte visibilité à réagir en l’espace de 24 heures en cas de signalement concernant un contenu qui est « manifestement illicite ». Pour avoir une force pratique, le texte exige un système de notification accessible et rapide à remplir. »
Exit toutes formes de libertés, l’individu robotisé tel que prévu par la finance qui contrôle les BigTech n’en a rien à faire. Voici donc le Nouveau Monde, construit sur la science, la technologie et la communication, verrouillé ou plutôt gangréné par l’argent douteux ( y compris celui des mafieux globalisés. Voir pour cela Dépossession). Celui qui a mis à genoux précisément les Etats, l’économie réelle, et les populations ignorantes des enjeux herculéens qui se jouent, alors qu’elles sont hypnotisées par les écrans de toutes les tailles…
Dépossession de l’identité humaine
Après avoir dépossédé l’homme de ses biens, de sa culture, de son Etat-Nation, la dépossession de son identité, de ses libertés, et tout simplement de sa croyance dans un avenir professionnel, familial et social est en cours.
Deux mouvements s’affrontent quotidiennement, inlassablement. Celui qui veut officialiser l’émergence de la nouvelle structure, et celui de l’investigation sur le terrain. Cette conflagration menace l’avenir de l’humanité, et de ses libertés inaliénables… en théorie.
Au nom d’un virus l’homme est en train de devenir un cyberprisonnier dans sa propre maison, par ses propres élus, par ses propres forces de sécurité. Un long processus qui se dénoue sous forme de psychodrame pandémique. Un prétexte qui a permis le confinement des 2/3 de la planète. L’autre tiers ayant subi des attaques sévères de criquets…
La confusion caractérise cette pandémie
Nous répétons depuis des semaines que les chiffres que l’on nous présente concernant l’ampleur de la pandémie sont faux.
Nous avons vécu ce virus en direct sans qu’aucune alerte sanitaire n’ait été lancée. La lumière commence à être projetée dans la région de Colmar sur la période de novembre-décembre 2019. Un médecin radiologue de Colmar a réévalué les dossiers des patients comme nous le suggérions. Il parle de cas de contamination dès novembre 2019. Voilà qui répond à l’appel lancé sur ce site début mars. Nous attendons un exercice similaire de la part des radiologues suisses…
Nous dénonçons aussi les anomalies du genre de garder de frontières ouvertes avec des foyers épidémiques. Les pénuries de tests et de masques sont un autre scandale. Récemment un député a jeté un nouveau pavé dans la marre en annonçant que des millions de masques ont été détruits durant la pandémie. Rien que cela!
Les scandales s’enchaînent sous le signe entre autres du mensonge qui empêche de se faire une véritable opinion sur la cause qui envoie l’humanité dans le mur. Alors quid de cette pandémie si meurtrière? De fait, toutes les grippes saisonnières portent en elles un potentiel de létalité plus ou moins impressionnant.
Et là, l’usage des chiffres peut servir à clarifier ou à accroître la confusion. Récemment, une polémique éclata au sujet de la grippe saisonnière de 2019-2020. En cause, 2 chiffres annoncés le 5 mars faisant état de 72 morts contre 194 l’année précédente.
Cela a suscité des recherches de la part des fact-checkers de Libération.
« On retrouve des chiffres semblables ailleurs dans la presse. Comme quand Sud Ouest écrit «avec AFP» le 4 mars : «L’épidémie de grippe saisonnière poursuit son reflux en France métropolitaine, mais a déjà provoqué 72 morts.» Une phrase tirée d’une dépêche de l’Agence France-Presse du même jour. La veille dans France-Soir, on lisait : «Selon les chiffres de Santé publique France arrêtés au 28 février, 55 personnes sont mortes de la grippe depuis le 4 novembre.»
Ces chiffres ont de quoi surprendre, car la même agence publique référente en la matière enregistrait pour l’hiver 2018-2019 «environ 8 100 décès attribués à la grippe». C’est la conclusion d’un article écrit cet été sur le sujet. »
Le questionnement de l’équipe de libération est légitime dans la mesure où les 72 décès correspondent à des décès parmi les cas admis en réanimation. En fait, à la fin de la saison, ce chiffre avait fini par afficher 88 décès contre 289 à la même période de l’année précédente.
Même si le journal de France 2 a omis de préciser que ces décès concernaient des cas en réanimation, les chiffres en question démontrent que la grippe saisonnière de 2019-2020 aurait tué 70% en moins des personnes admises en réanimation que l’année précédente.
Est-ce à dire que cette grippe a été moins forte? Existe-t-il une confusion entre les cas de Covid-19 et ceux de la grippe saisonnière puisque les deux présentent des symptômes similaires? Cela expliquerait alors pourquoi les cas de Covid-19 de fin d’année dernière-début de cette année classés sous grippe?
Depuis la mi-mars, le compteur de la grippe saisonnière a été arrêté. Combien de cas de grippe saisonnière ont été depuis classés sous Covid-19? La chose est d’autant plus possible que les gestionnaires de la crise du Covid-19 nous ont expliqué qu’il comptabilisait non pas les décès dus, mais avec le Covid-19.
A cela s’ajoute tous les problèmes de fiabilité des tests avec les faux positifs et les faux négatifs. Ainsi le test des laboratoires Abbott, utilisé tous les jours à la Maison-Blanche, produit entre un tiers et une moitié de faux résultats négatifs, selon une étude préliminaire réalisée par des chercheurs de l’université de New-York (NYU).
Cela nous rappelle la mésaventure française du sang contaminé. Une enquête sur le sujet avait révélé: »De nombreux documents et articles scientifiques (2) démontrent en effet que le test Abbott était de mauvaise qualité. Ses faiblesses portent non seulement sur sa mauvaise spécificité (nombre élevé de faux positifs), qui était connue en France dès février 1985, mais aussi sur sa faible sensibilité, c’est-à-dire son incapacité à détecter tous les porteurs de VIH (faux négatifs). Des études américaines concordantes démontrent la médiocrité du test Abbott pour ces deux paramètres (3). Plusieurs personnes ont d’ailleurs été contaminées aux Etats-Unis par des échantillons sanguins pourtant testés négativement par le test Abbott (4). De plus, la reproductibilité des performances du test Abbott d’un lot à l’autre est faible. On peut comprendre les doutes des expérimentateurs français. »
D’autres épidémies plus létales en France?
1951. Une épidémie de grippe (A / H1N1) avait alors causé un nombre de morts anormalement élevé en Angleterre; en particulier, les décès hebdomadaires à Liverpool ont même dépassé ceux de la pandémie de 1918. Les auteurs d’une recherche sur le sujet ont constaté qu’en Angleterre et au Canada, les taux de mortalité excessifs dus à la pneumonie et à la grippe étaient sensiblement plus élevés pour l’épidémie de 1951 que pour les pandémies de 1957 et 1968 (de> 50%).
Nous avons retrouvé des traces de cette pandémie dans les statistiques des décès de l’INSEE. Le nombre de décès, toutes causes confondues, sur les 4 premiers mois de 1951 est à peu près équivalent à ce que nous avons vécu jusqu’à fin avril 2020. En revanche, quand on ramène les décès à la population, le taux de mortalité qui touchait la population française était bien plus fort en 1951 qu’aujourd’hui.
En 1951, un total de 230’037 décès à fin avril pour une population de 42’031’196 d’habitants. En 2020 et pour la même période, les décès se montent à 231’659 pour une population de 67’063’700 habitants. Source fichier évolution des décès en France Ici
Le taux de mortalité qui a frappé la France en 1951 était de 0,55% contre 0,35% à l’heure actuelle.En 1960, pour la même période, le taux s’élevait à 0,45%. En 1968, il était de 0.42% (Grippe de Hong Kong). Il est de 0,4% en 1973.
En revanche, en 2018 le taux de mortalité était proche de celui de 2020 avec un 0,32%.
Que nous révèlent les chiffres suisses?
Voici les chiffres de décès toutes origines confondues extraits de la base de données officielles. (Copie du fichier ici Evolution des décès en Suisse). Aucune surmortalité ne peut être relevée. Par conséquent, nous ne constatons AUCUNE raison de mettre le pays à l’arrêt!
Alors que dire du confinement?
L’INSEE a publié le 15 mai le graphique ci-dessous qui affiche les décès en France, toutes causes confondues. Il est utile pour se poser la question sur l’utilité du confinement. La flèche rouge montre le 1er jour où on passe des restrictions à un confinement général. Le président l’a annoncé le 16 mars, mais les informations sur la décision à venir circulaient déjà avant.
- Nous sommes dans l’incapacité de déterminer les causes de la prise de décision sur la base de ces chiffres, et en les comparant avec les épidémies précédentes.
2. Nous voyons que le pic de l’épidémie arrive au-delà d’une éventuelle période d’incubation du confinement total. Nous relevons une quinzaine de jours entre le début du confinement et le pic. On ne peut donc se prévaloir de la mesure pour dire que l’on a stoppé quoi que ce soit.
3. Combien de personnes ont pu se suicider à cause du confinement?
4. De nombreux spécialistes avaient alerté sur le risque d’accroître la contagiosité avec le confinement. La courbe semble bien leur donner raison.
Des dégâts sociétaux et personnels incalculables
La confusion qui règne dans cette affaire suscite peur, instabilité, et perte de confiance dans l’avenir. C’est le principe de la gouvernance par la peur. Celle-ci prône l’idée pour un gouvernement une politique qui provoque la peur au sein de sa population pour faciliter l’adoption de lois sécuritaires. En réduisant ainsi la liberté individuelle, il espère pouvoir assurer son maintien. Les citoyens, quant à eux, en échange d’une hypothétique sécurité sont conditionnés pour renoncer progressivement à leurs libertés.
Le journaliste et critique américain, Henry Louis Mencken (1880-1956) constate, dès le début du XXe siècle, cette tendance : « le but de la politique est de garder la population inquiète et donc en demande d’être mise en sécurité, en la menaçant d’une série ininterrompue de monstres, tous étant imaginaires ». (toupie.org)
Les conséquences de cette politique génère des dégâts inestimables sur la société dans son ensemble. Le traumatisme et ses conséquences que les enfants d’aujourd’hui auront à subir pour le restant de leurs jours est un exemple édifiant d’une gouvernance devenue dangereuse. Voici des photos navrantes d’enfants soumis à la distanciation sociale dans une petite école en France. De la maltraitance psychologique évidente!
Si l’on rajoute au tableau qui précède l’impératif, pour le moment volontaire, du téléchargement des applications de traçage sur les supports des GAFAM, nous avons un Nouveau Monde qui aura profité de ce virus pour asservir une humanité, sans oublier de la modifier génétiquement (cf projets de vaccin contre le Covid-19).
Liliane Held-Khawam
RAPPELS:
Compléments de données
Une vidéo montre un enfant asiatique qui doit se désinfecter avant d’entrer en classe.
Décès réa 2019-2020