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Ça y est ! Le petit problème d'encodage de la vidéo est réglé.

Désolé pour le petit désagrément, d'autant que je me suis abscenté.

 

  Alors que les musikos sont à la balance,

les plasticiens s'installent sous l'un des deux chapiteaux.

 

Pas mal d’inpro,

Un coup dehors, un coup sous le chapiteau,

Pour des questions de météo.

 

Mais tout s’est bien passé à l’arrivée,

Question de solidarité, et même, de fraternité

Entre tous les équipiers.

 

Il y avait là une volonté de bien vivre ensemble, entre une équipe de filles (celle de K Divers), dont nous étions les invités (mon Alcolyte et moi), et de l’autre côté, côte à côte, dos-à-dos, une équipe de garçons, qui parfois offrent l’apparence de macho – souvent pour masquer le trouble que suscitent ces apparitions féminines, dans un univers masculin en sueurs. Mais comment l’installation d’un barnum métallique pareille ne susciterait-il pas, parfois, la rugosité trivial face à la dureté du travail et  des impondérables. Cagnard, intempéries, électricité, vent, métal… Il y  a quelques cheveux à se faire, confrontés aux cinq éléments, pour assurer la sécurité du publique, parmi lequel j’ai pu remarquer pas mal de parents, d’enfants, de personnes d’un certain âge, se promenant d’une scène à l’autre, d’une exposition à l’autre, au milieu des jeunes, dont pas mal d’étudiants – mais pas seulement. Il y avait là des Français, des étrangers de tous les continents, des personnes venues de tous horizons, de classes d’âges et de milieux différents. De quoi faire mentir les tenants de la peur, du terrorisme des âmes et du chantage. Un chantage selon lequel il n’y a qu’une issue au final, se tenir trenquille jusqu’à la porte de l’abattoir. Ensuite… (Les images sont là.)

 

Et puisqu’il est question d’images, pendant cette épopée Zik Zac 2010, il m’a été donner de voir en concentré  et en grandeur réelle, une société pas si utopique que ça en définitive. En tout cas, pas autant qu’on voudrait nous le faire croire, à coup de marteau médiaticonomico-politique sur la tête. Et par les temps qui courent, la démonstration dans les faits, c’est-à-dire en actes, vaut mieux que des discours sans faim ni loi.

 

Mais je m’éloigne. Comme toujours.

 

Quant à la vidéo ci-dessus présentée, c’est la première fois que je monte des images les unes derrières les autres, aussi voudrez-vous bien me pardonner des libertés prises avec les canons par votre serviteur.

 

Bien à vous.

Et rendez-vous pour le prochain épisode de cette histoire.

Le temps de rédiger un texte et de monter les images,

Car il y a aussi Contre.poids.

 

 

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