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La France n’attend plus que sa mise à mort

Dans l’arène des jeux «fadaïstes»

Qui s’amènent à toute allure

Quel cirque !!!

Collage prémonitoire ©

Collage prémonitoire ©

 

13 juillet 2024

Et nous voilà arrivés à bon « porcs »

Au pays des cinglés suicidaires

Sous la coupe d’une mafia génocidaire

Adepte du veau d’or

Sortez vite fait vos parachutes

Puis sautez de cette carlingue

Pilotée par des dingues

Serviteurs de Belzébuth

Élancez-vous sans crainte chers amis, frères et sœurs

Pour atterrir

Au Pays du bon sens commun, afin de revivre enfin

14 juillet 2024

Commençons par la France !

En errance

À bonne cadence en décadence

Et son « zoo’lympique »

Tragique

Pour le moins pathétique

Drôle de cirque

Satanique ?

Sous un ciel d’été

Lardé

Par des trainées 

Identifiées

Facile à observer

18 juillet 2024

Aujourd’hui, journée en immersion parmi des réfugiés politiques birmans, au milieu desquels se trouvaient une mère et sa fille ukrainiennes, de passage en France, à deux jours du retour en Ukraine. Tous accueillis par un couple de français de grande qualité humaine. Oui ! cela existe encore dans notre pays, vendu à la découpe aux margoulins du « N.O.Misme » à tambour battant.

Il reste que cet après-midi n’était autre qu’une réunion fraternelle, générant des échanges de haute qualité tenus par une palette sociétale de personnes venues de divers horizons. Preuve que le bon sens commun soude, rapproche, génère de la chaleur humaine qui donne et/ou redonne des forces ; les uns et les autres se tendant des mains chaleureuses, comme de juste, en la circonstance. Le pire qui puisse arriver aux démons qui ne cherchent qu’à diviser. D’où cette idée de lancer quelque chose sous l’intitulé : le ¼ d’heure d’attention à l’autre. Concept en cours de développement depuis lors. J’y reviendrai après quelques jours de réflexion… Si cela vous intéressait, bien venu d’avance.

19 juillet 2024

Interlude, pour une prise de recul

À l’écart, sans scrupule

Consacrée à l’écriture

Et la contemplation de la nature

24 juillet 2024

Aujourd’hui marche salutaire

Pour ainsi dire sanitaire

Sous les arbres et tintamarre des cigales en concert

Telle une bulle enveloppante de la tête jusqu’à terre

Frottement d’ailes encore loin de se taire

Puis survient le moment où le bruit intense vous aspire dans une forme de silence intérieur ; le bazar devenant une forme de cloche insonorisée, propice à la réflexion, et même, à la contemplation. Paradoxe non ? Oui et non… Comme de s’interroger à propos de ce monde, en plein été, protégé de la canicule (fabriquée) sous une allée de chênes robustes. Décor propice à réflexion, et en particulier sur ce monde « ocxydental » qui pète les plombs, se fabriquant une existence de fossoyeurs, gourmands de cadavres en forme de friandises, de corps d’enfants aux Anciens euthanasiés à tour de bras, pour finir dans des boîtes de nourriture pour animaux de compagnie. « Ocxydant !» se fabriquant ses musés de l’Horreur absolue, comme jamais vu à cette échelle au cours de toute l’Histoire humaine.

Quelle idée de canidé !!!

Même les chacals en seraient dégoûtés

25 juillet 2024

Faisant suite aux cogitations de la veille, retour au sujet de ce monde cannibalisé, et la nécessité de reprendre la main sur les oiseaux de malheur qui vampirisent les Vies, conviées à les vivre pleinement et participer au grand spectacle du vivant, engendré par le Ciel et Dame nature, sur la planète bleue comme enveloppée par l’univers qui la nourrie en toute chose, sans prélèvement d’impôts et taxes.

En finir avec les vandales suceurs de sang, mortifères, qui tiennent le monde, ne sachant que détruire, du moins jusqu’ici. Au lieu de s’y vautrer comme des cochons qui attendent, entassés, dans des abattoirs qui puent la mort. Submergés d’hurlements ininterrompus, jusqu’à s’éteindre à la venue de l’hallali industrialisé.

Et ceci, sans cesse renouvelé au fil du temps, sans jamais en tirer la leçon, chemin faisant, préférant rester prisonnier, sous la houlette des faisans faisandés à souhait, c’est le cas de le dire. Autrement dit, s’en remettre à des pourritures se prenant pour des dieux, pour le moins maléfiques.

Une fois posé le tableau tel qu’il est, au plus près, regardons les choses autrement, sous un autre angle. Celui de la grande révélation en cours, qui déchire les masques des imposteurs à la manœuvre depuis trop longtemps déjà. Des siècles et des siècles…Et voilà que la roue tourne, place à la vérité ! À ce propos, voici un proverbe africain selon lequel : Le mensonge prend l’ascenseur quand la vérité prend l’escalier, parce qu’elle prend tout son temps, solide comme du granite.

Nous y sommes !

Le temps n’est-il pas venu de créer les conditions, à pas comptés, de sortir de la mouise dans laquelle nous pataugeons, à n’en plus finir.

ÇA SUFFIT !

Par où commencer ?!

Il n’est que d’ouvrir les yeux, même si cela pique un peu de regarder la Vérité en face, afin de se joindre à ce basculement en cours, qu’est la grande révélation (évoquée précédemment), et d’y participer, touches après touches, prenant exemple sur la Vérité. Elle est là, sous nos yeux, il n’y a plus qu’à la chevaucher, sans se retourner, prenant le veau d’or par les cornes, pour le renvoyer, lui, et ses serviteurs, dans la ménagerie dont ils n’auraient jamais dû s’évader.

 04 août 2024 

Glané aujourd'hui par-ci- par-là...

 

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