Couleurs sur bois et protos table du temps où ne comptent que les secondes tout comme mes pendules en carton
Cet interlude, aménagé en plein air sur un coin de la terrasse fut perturbé tout à coup à la lecture d'un article pour le moins effrayant compte tenu du sujet abordé, pour qui possède encore un minimum d'empathie, que dis-je ? (D'Humanité). Deux gros mots par les temps qui courent à notre perte, à moins d'un réveil vital sans pareil ni compromissions possibles, en l'espèce. Et en particulier lorsqu'il s'agit d'enfants volés à leurs parents, ou achetés, maltraités ensuite de façon - ignoble inimaginable.
Terminé l'été débonnaire !
Interlude pourtant mérité...
Me détournant aussi sec de mes travaux en cours, après lecture, parti à la recherche de ce que pourrait-être la divinité de ces buveurs de sang humain en bande organisée ; sang volé à des enfants sacrifiés par des monstres froids, à la recherche d'un élixir de jouvence permettant de tuer la mort, à la gloire du mauvais œil qui promet à ses disciples une vie éternelle.
Ainsi fut lancée cette recherche sculpturale
rendue ici en images
B.AL.M Sculture d'été (2023) ©
Absorbé aussi sec comme de l'eau par cet article
telle une éponge cérébrospinale et quelque chose
qui devait ne plus lâcher la cafetière au fourneau de mézigue
en plein feu brulant d'un été tout l'été fournaise fomentée
la caboche hurlante sans répit plein pot
outrée jusqu'à la gomme
par ce sombre énoncé tel un coup d'marteau en pleine bille
D'où cette approche ponctuée de griffonnages calligraphiques
en manière d'exorcisme de l'été à l'automnale
en pleine guerre "crimatique"
infernale
B.AL.M Sculture d'été (2023) ©
Exercice ayant couru jusqu'à la veille de cette nouvelle année 2024, préférant vous présenter le résultat de cette recherche après les fêtes, à propos de cette divinité (évoquée plus haut), adorée par des "zélus" divins autoproclamés, dépopula'sionistes .
Pour clore ce chapitre petite vidéo
Sortie du dessous des fagots