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Par Marie-José Monéger

Un article du RI du 10/12/2021 présente un extrait significatif de l’Info en questions 78 de Jean-Jacques Crèvecoeur : « Covid-19 & ingénierie sociale : pourquoi les démarches de ré-information basées sur le réel sont nécessaires, mais pas suffisantes ? »

Dans cet extrait, Jean-Jacques Crèvecoeur présente une synthèse significative d’un livre relatif à l’historique et aux techniques de l’ingénierie sociale et de la manipulation mentale, Gouverner par le chaos, livre dont je parle depuis deux mois dans mes commentaires. Et il apporte un début de réponse à la question centrale du problème : « Pourquoi les démarches de ré-information basées sur le réel sont nécessaires, mais pas suffisantes ? ». En effet, depuis bientôt deux ans, les lanceurs d’alerte et les ré-informateurs ont de plus en plus l’impression de se heurter à un mur. Je me suis donc penchée sur ce « Pourquoi ? »

Pourquoi me suis-je penchée sur ce pourquoi ?

Je l’ai déjà dit dans un précédent article, « Du baccalauréat au « Paquet Climat » ( https://reseauinternational.net/du-baccalaureat-au-paquet-climat-de-1971-72-a-2020-21/ ), tout ce qui se passe depuis deux ans heurte mon bon sens et ma logique. Pour avoir étudié en formation continue la manipulation mentale et ses techniques dans les années 1990, je me suis replongée dans les notions développées à l’époque dès le 1er confinement. Et j’ai rapidement eu la ferme conviction, que tout ce que nous pouvions dire et redire était aussi inefficace que prêcher dans le désert. Pourquoi ?

Ayant personnellement constaté dans les années 2000 le conformisme de certaines personnes de mon entourage professionnel, j’ai donc d’abord pensé à cette pression sociale comme première explication. Mais ce conformisme était tel que j’ai rapidement pensé aux techniques de « lavage de cerveau » utilisées dans ce milieu particulier, sur les élèves et sur les enseignants, car les faits que je constatais me donnaient l’impression parler à des sourds. Aucun argument logique ne les atteignait, sauf toutefois celui de l’argent …

C’est donc sur la base de ce vécu professionnel que j’ai commencé mes recherches sur l’ingénierie sociale, tout en restant toujours très vigilante à ce que mes « Amis du RI » publiaient dans leurs commentaires et dans leurs articles.

Nouveaux éléments de réponse

En ouvrant les liens ajoutés aux commentaires, ainsi que ceux envoyés directement par mes amis, j’ai trouvé ceci : l’interview d’Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR,

Cette interview m’a appris de nombreuses choses, tant au niveau physiologique qu’au niveau psychologique. Dès la minute 26, Alexandre Boisson entre dans le vif du sujet qui m’intéresse : « Nous sommes en train de vivre une guerre psychologique ! ». Le Général Delawarde nous avait déjà alertés à ce sujet en nous transmettant une excellente analyse de la situation publiée par le Général Roure, dès le premier paragraphe de son article « La France face aux menaces, 1-1) Tout peut s’avérer menace »

Je vais donc reprendre les grandes lignes de l’interview de Alexandre Boisson (minutes 26 à 50).

*
I – CONSTAT

Nous sommes en train de vivre une guerre psychologique !

L’amygdale du cerveau (AC) est un système d’alarme capable de court-circuiter les parties rationnelles du cerveau, les lobes frontaux (LF). Face à un danger, elle se met en mode survie. Il est donc possible de faire un détournement de l’AC en créant un danger de toutes pièces (faux drapeau).

La manipulation mentale que vivent les citoyens, c’est leur maintien dans une peur de mourir (AC) avec seulement 2 mots : covid-19 et coronavirus. De ce fait, il n’est plus possible de parler avec certaines personnes, car cette peur court-circuite le raisonnement logique (LF). Pire : quand vous prouvez que la crise sanitaire n’est pas uniquement ce que disent les MMS, mais que c’est peut-être autre chose, vous vous faites traiter d’anti-ceci ou pro-cela. Et si vous dites la vérité à des personnes dont l’AC a été activée, elles rentrent alors en déni. C’est pour cela qu’il est quasiment impossible de discuter avec des membres de la famille, des collègues ou des amis parce que leur cerveau rationnel (LF) est court-circuité.

Parce qu’en début de crise, le DGS Jérôme Salomon a rabâché le nombre de morts du Covid, nous étions tous en panique car nous ne comprenions pas, empêchés de sortir, confinés par principe de précaution, et la mémoire émotionnelle se souvient de tout ça. Nous étions abreuvés d’informations anxiogènes. Aujourd’hui, si vous dites à l’AC que le Covid n’est pas dangereux, elle ne sait plus où elle en est. Les LF ne sont pas habitués et entrainés aux crises. Ils ne peuvent quasiment pas lutter car c’est elle la maîtresse.

Or le citoyen n’est pas adapté à la situation de crise.

Les gens ne peuvent pas imaginer que l’on veuille détourner leur AC. Il y a peut-être de bonnes raisons de faire peur aux gens, et de mauvaises raisons de faire peur aux gens, que c’est peut-être pour les dominer. On arrive donc à des réflexions qui font encore plus peur. L’AC se réactive donc.

Si on a l’AC qui prend le dessus sur les LF, il n’est plus possible de raisonner. Mais il est possible de faire tenir l’AC à sa place car c’est un alerteur, un signal d’alarme. Quand vous avez les LF qui sont habitués à la gestion de crise, quand vous avez déjà vécu des situations de stress, vous êtes entrainé à gérer ces situations de stress, elle joue donc son rôle de vous alerter s’il se passe quelque chose, mais vos LF vont dire : « je connais », et c’est ce qui vous permet de rester rationnel.

Aujourd’hui, le citoyen lambda n’est pas entraîné à ce genre de crise et de gestion de crise. Il écoute ce qui est le plus rassurant pour lui. Et le plus rassurant, c’est le conformisme, donc il s’y réfugie. Et tous ceux qui essaient de lui dire « attention, il y a peut-être un loup ! » se font accuser des pires choses et se font exclure.

Clivage et déni sont des mécanismes psychologiques.

Clivage et déni sont des mécanismes de défense lors d’un conflit psychologique. C’est ce qui permet de voir que votre interlocuteur est victimes de violences psychologiques. Quand face à une vérité, il se met en position d’évitement ou de fuite, c’est que l’AC fait son travail d’alerte et qu’elle court-circuite le rationnel.

Ce n’est pas une question de classe sociale, ni d’intelligence. Si l’AC est touchée, on peut dire ce que l’on veut, cela ne va rien changer.

Mettre des mots sur les maux.

La plupart des gens sont maltraités psychologiquement. On le voit à l’augmentation des troubles mentaux, notamment chez les enfants. Les victimes de manipulations et de violences ne savent pas toujours mettre des mots sur les maux, et pour autant, les mots sur les maux, c’est ce qui sort de la situation. Si on est entrainé à avoir les LF plus rationnels que l’alerte que l’on reçoit de l’AC, on est capable de voir de manière rationnelle ce qui se passe.

Le Code Pénal est très important pour poser les mots sur les maux. Lorsque l’on est victime de violences psychologiques, de harcèlement, d’extorsion du consentement, de discrimination ou d’abus de faiblesse, il existe un article du Code Pénal pour chacun de ces cas, et cela permet de rationaliser la situation.

Savoir sortir d’un traumatisme est une histoire neuronale et il faut savoir exprimer les mots et les poser sur les maux, pour rationaliser à nouveau les LF, afin qu’ils décident du « comment faire ».

Les Français vivent aujourd’hui un détournement de l’amygdale !

L’AC fait 3 choses : elle lance son alerte, mais elle décide aussi s’il faut fuir, s’il faut combattre ou si on reste figé, et ceci de manière indépendante. Or il y a détournement de l’AC quand une personne réagit de façon émotionnelle plutôt que rationnelle à un stress ou un danger.

Or les Français sont en permanence bombardés par les informations des MMS, les menaçant de mort. Dans leur AC, il y a donc l’information que l’on peut mourir à cause de ce virus, alors que l’on peut mourir de plein d’autres choses.

Il ne s’agit pas de minimiser le coronavirus, mais de relativiser. De plus, il s’agit pour la Sécurité nationale de savoir si c’est un virus naturel ou si c’est un virus trafiqué. Car si c’est un virus trafiqué : où sont les coupables, comment se fait-il qu’on ne les stoppe pas et comment se fait-il qu’ils ne soient pas arrêtés ?

*
II – ELEMENTS DE SOLUTION

Comment faire pour amener les gens dont l’amygdale est détournée à se rendre compte de ce détournement ? Comment leur faire comprendre et accepter qu’elles sont victimes d’une machination politico-médiatique ?

Il y a un travail à faire auprès de ses proches, de ses amis, de ses collègues. Mais si vous vous faites traiter d’anti-ceci ou de pro-cela, alors que vous présentez des faits réels, factuels, objectivables, alors vous pouvez dire à la personne : « Tu dois être victime de violences psychologiques pour être aussi irrationnel ! Qui t’as dit de me dire que j’étais pro-ceci ou anti-cela ? Quelle est ta source ? Est-ce une organisation respectable ou est-ce un cabinet de conseil multirécidiviste ?»

Vous savez de qui je parle, mais c’est à chacun maintenant de rentrer en mode enquête, ce qui permettra à la France de sortir de son affaiblissement. C’est aux citoyens, à la lecture de l’article 73 du Code de Procédure pénale, de comprendre qu’ils sont des policiers car « chacun a la possibilité de stopper un crime ou un délit ». Cela devient de plus en plus flagrant car il y a des personnes qui vont mal.

Mais plus il y aura de citoyens qui rationnaliseront à nouveau les choix, qui comprendront qu’ils sont eux-mêmes victimes de délits, de crimes, de violences psychologiques, plus ils seront en mesure de comparer ce qui leur était annoncé en début de crise covid et de se demander : « Est-ce rationnel de dire cela ? Est-ce qu’il n’y a pas un excès, un abus de langage ? Voire pire une volonté de suggestion mentale ? ». Les pressions psychologiques répétées qui mettent en état de suggestion mentale sont une infraction, cela s’appelle l’abus de faiblesse.

Que faire maintenant ?

Il est temps aujourd’hui de récupérer toutes ces Unes toujours aussi traumatisantes pour l’AC et qui ramènent toujours au fait que l’on va mourir. C’est ce narratif de la menace de mort en permanence qu’il est maintenant important d’examiner.

« Messieurs les journalistes qui appartenez pour la plupart (95%) à des milliardaires, est-ce que vous ne vous rendez pas coupables de pression psychologique entrainant une suggestion mentale des populations, qui elle-même affaiblit notre pays ? ». Auquel cas, c’est un problème de sécurité nationale. Est-ce que vous défendez l’intérêt de la France quand vous faites cela ? Quel est votre intérêt ?

Examiner ces Une pour les mettre en face de la réalité. Il faut être factuel et ne pas hésiter à porter plainte. En effet, porter plainte, c’est dire : « Il y a quelque chose qui ne va pas », et en tant que citoyen dire : « Je contribue à la défense de mon pays ! »

Nous sommes aujourd’hui attaqués psychologiquement !

Regardez les 10 caractéristiques des dérives sectaires ( https://www.derives-sectes.gouv.fr/quest-ce-quune-dérive-sectaire/comment-la-détecter ) qui permettent de se rendre compte comment les gens sont mis en état de suggestion mentale. Vous allez alors pouvoir répondre à la question : « Comment fait-on pour que les personnes se rendent compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas ? »

Il faut justement leur expliquer que quand elles sont dans une position de clivage et de déni, c’est un trouble mental reconnu, et qu’elles ne doivent pas rester dans une position où elles se font violenter. Il faut absolument qu’elles redeviennent rationnelles, qu’elles puissent à nouveau relativiser la situation, parce que ce ne sont pas des intérêts privés qui risquent, suivant leur intérêt caché, d’apporter de la sécurité publique.

Pour les anglicistes, vous pouvez lire le livre de Laura Dodsworth, « A State of Fear » (2021), où de hautes personnalités britanniques ont avoué avoir utilisé la peur massivement et de manière complètement exacerbée, pour manipuler les britanniques et leur faire accepter finalement toutes les mesures sanitaires. Donc si un pays voisin utilise de telles techniques, on peut légitimement se poser la question de savoir dans quels autres pays ce genre de techniques ont également été utilisées ? On voit très bien alors qu’en France, la peur a été également et massivement utilisée !

Attention : « Faire peur aux gens pour les protéger, ce n’est pas une erreur. Mais faire peur aux gens pour abuser de leur faiblesse, ça c’est pénalement condamnable, car de l’abus de faiblesse à l’abus de confiance, il n’y a qu’un pas ! »

Est-ce que je suis bien d’accord d’être amené au TRANSHUMANISME ?

Il faut vraiment que les gens comprennent vers quoi on veut les emmener et qu’ils se posent la question : « est-ce que je suis bien en accord ou non avec une MODIFICATION DE LA CONDITION HUMAINE, une modification de mon corps physique humain ? Est-ce que j’ai envie d’être amené au TRANSHUMANISME ? »

Est-ce que les gens qui sont en état de faiblesse, qui consentent à l’abus de consentement, à l’extorsion du consentement, à aller vers un contrôle de leur santé, y compris par les serveurs de restaurant, qui ne sont pas médecins, par n’importe qui maintenant, est-ce qu’ils ont envie d’être un QR Code, est-ce qu’ils ont envie d’ETRE CONTROLES PAR LA MACHINE ? Car aujourd’hui, c’est déjà cela : la MACHINE dit OUI ou NON vous pouvez aller quelque part !

Et il y a un brevet dont il faut se poser la question, le brevet de Microsoft – Bill Gates, où en fin de compte, le corps humain servira bientôt à miner des blockchains, c’est-à-dire que votre corps servira à de la crypto-monnaie ou à des crypto-bidules ? EST-CE QUE VOUS ETES D’ACCORD ? C’est la question de société qu’il faut se poser ! Car le jour où vous vous rendrez compte que vous n’étiez pas d’accord, il sera trop tard ! Que faut-il injecter dans le corps humain pour que ce corps devienne un objet connecté ? EST-CE QUE VOUS ETES D’ACCORD AVEC CELA ?

Leur agenda politique

Il faut bien comprendre qu’un agenda politique ne peut se faire sur un laps de temps très court. Ce n’est pas possible, sinon les gens se rebiffent et la force du nombre est ce qu’il y a de plus puissant.

Donc, un agenda politique se séquence et s’étale dans le temps afin que, par petites touches, les gens s’énervent un peu, puis se rendorment, puis s’énervent à nouveau, puis se rendorment à nouveau, etc … Par contre, quand vous avez des gens qui connaissent la loi, qui savent ce qu’ils veulent, qui refusent quelque chose, ils peuvent contracter le temps et dire NON, vos agendas nous n’en voulons pas !

Il est donc important que les gens comprennent qu’il y a quelque chose qui est anormal. Nous sommes des êtres humains. Est-ce que nous avons envie de continuer à être des êtres humains, ou alors est-ce que nous laissons d’autres décider que nous allons devenir des hommes augmentés ?

*
Petite conclusion personnelle

Depuis deux ans, la manipulation mentale que vivent les Français, c’est leur maintien de force dans la peur de mourir avec seulement deux mots : covid-19 et coronavirus. Est-ce que c’est normal, logique et légitime de la part de nos dirigeants, de nous maintenir de force sous une telle chappe de plomb avec de telles violences psychologiques ? Personnellement, je ne le crois pas.

Il convient donc dans un premier temps de RELATIVISER la gravité de la situation en réfléchissant avec notre bon sens ancestral, puis de n’accorder d’importance qu’à ce qui en a réellement, c’est-à-dire l’AVENIR DE NOS ENFANTS. Par ailleurs, il ne faut plus hésiter à porter plainte pour un ou plusieurs motifs recevables par le Code Pénal, de façon à mettre des mots sur les maux d’une part et à bien montrer à nos élus et nos journaleux que nous ne sommes plus dupes de leurs agissements d’autre part.

Enfin, il nous appartient de nous lever en masse pour défendre ce qui est vital pour nous : nos ENFANTS, car ce sont eux qui représentent l’AVENIR DE L’HUMANITE ! C’est parce que nous ne construirons rien de solide ni de durable si nous restons couchés devant les « menaces de mort » de nos dirigeants, de nos élus et de nos faiseurs d’opinion, que nous devons nous lever et dire NON à toutes leurs exigences !

ILS N’ONT DE POUVOIR SUR NOUS QUE PARCE QUE NOUS RESTONS COUCHES …

OR NOUS NE POURRONS PAS ASSURER L’AVENIR DE NOS ENFANTS EN RESTANT COUCHES …

CONCLUSION : NOUS DEVONS NOUS LEVER EN MASSE POUR LEUR DIRE NON !  NON ! NON !

Source : Réseau international
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