par Marie-France de Meuron.
Cette appellation est lancée dès qu’un groupe ou une communauté se différencie de l’opinion en vogue, avec l’assurance de celui qui l’émet de se situer dans le camp du bon droit. L’étymologie de ce vocable est double, du verbe suivre (sequi) et du verbe couper (secare).
On peut en déduire qu’il y a ceux qui suivent et ceux qui se coupent des autres. Mais il y a aussi ceux qui s’arrogent le droit de décréter le verdict de sectarisme.
Le Larousse nous explique que sectaire « se dit de quelqu’un qui, par intolérance ou étroitesse d’esprit (en politique, religion, etc.). , se refuse à admettre les opinions différentes de celles qu’il professe ».
Dans la crise sanitaire que nous traversons, qui répond à cette définition et par rapport à quoi ?
Les mesures d’exception sont tranchantes. Une doctorante en droit public attire notre attention que de telles mesures représentent la porte ouverte à d’autres situations tout aussi tranchantes et même plus durables : De façon similaire, la loi de gestion de sortie de crise sanitaire inquiète en ce qu’elle permet d’introduire dans le droit commun, bien que temporairement, des mesures d’exception. Le risque est grand : celui d’une accoutumance à l’existence de ces mesures fortement restrictives pour les droits et libertés.
Un médecin de Santé publique l’exprime à partir de sa vision globale : « Dans cette idéologie hémiplégique, il n’est bien sûr pas question, comme indiqué au début, d’être regardant sur le bénéfice/risque ou le bénéfice/inconvénient, seul le bénéfice supposé est pris en compte. Et le passeport sanitaire devient un extraordinaire vecteur de cette nouvelle « philosophie ». Il évoque de façon très parlante l’hémiplégie qui illustre bien le fait qu’un être humain puisse être coupé de l’usage d’une partie de ses membres.
Au niveau économique, nous constatons aussi ce côté tranchant : en Italie, des privations de salaire pour le personnel soignant qui refuse de se faire vacciner.
Un éditorialiste économique utilise son sécateur verbal très éloquent quant à des mesures absolues, usant de l’instrument autoritaire maximal :
» On vous vaccinera de force, moi je vous ferai amener par 2 policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes si il le faut ».
En outre, il souligne encore son absolutisme :
« Les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire des parias de la société ».
S’il s’exprime d’une manière aussi enragée comme on le voit sur la vidéo, on peut en déduire qu’il est animé d’une colère dont on sait qu’elle met les gens hors d’eux. Il s’agit là par conséquent d’une coupure entre son moi affectif et son ego apparent. Au fond de lui, ne vit-il pas une angoisse terrible d’être menacé par le covid, vu son obésité, et ne s’accroche-t-il pas à la vaccination, suprême espoir mis constamment en évidence par les médias officiels ?
Venons-en à la scissure entre un concept et sa réalité substantielle et vivante. Prenons l’exemple du masque. Il est facile de comprendre son rôle pour retenir ce que notre souffle expire et pour nous empêcher d’inspirer des particules ou organismes de notre environnement. Le calcul est ainsi facile à déduire. Mais le réalité qui se joue dans le quotidien, au fil des heures, que permet-elle de mettre en évidence ? « Un laboratoire découvre des agents pathogènes dangereux sur des masques pour enfants : Un laboratoire de l’université de Floride qui a récemment analysé un petit échantillon de masques faciaux a détecté la présence de 11 agents pathogènes dangereux sur ces derniers, dont des bactéries responsables de la diphtérie, de la pneumonie et de la méningite. Outre les agents pathogènes, Les masques contenant du graphène sont interdits et rappelés par le gouvernement français : Certains remparts pourraient-ils favoriser l’entrée d’un ennemi imprévu ? C’est ce que laisse penser le nanographène contenu dans des millions de masques FFP2. Après le Canada, c’est au tour de la France d’interdire et de rappeler les masques contenant cette substance potentiellement toxique qui pourrait détériorer nos cellules pulmonaires. Le nec plus ultra du paradoxe pour un outil censé nous protéger d’une maladie pouvant provoquer des syndromes respiratoires aigus ».
De même, le concept du confinement semble accessible à la compréhension de tous. Toutefois, il est bien loin de la réalité vécue par ceux qui doivent s’enfermer, se retenir de travailler, se supporter dans un espace restreint, se priver d’activité sportives et artistiques, etc. Un article de Mises Institute en développe les conséquences : « Les confinements révèlent les dangers de l’ingénierie sociale » : L’ingénieur social devra être sourd à beaucoup de plaintes ; en fait une partie de son travail consistera à éliminer les objections déraisonnables (il dira comme Lénine « on ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs. »). Mais ce faisant, il devra inévitablement éliminer aussi les critiques raisonnables.
Dans le cadre des vaccins, qui détient le titre de sectaire ? Les médias focalisent facilement sur les vaccinés et les non-vaccinés, on voit bien ici la coupure entre deux groupes qui ont fait un choix opposé. En réalité, il y a encore ceux qui oscillent entre les deux pôles et qui se trouvent en dehors de toute sectorisation.
J’entends souvent dire « je crois au vaccin ». Une telle affirmation relève donc d’une croyance ; d’où leur vient-elle ? Souvent, ils récitent les arguments entendus qui sont souvent devenus des dogmes auxquels s’accrochent tous ceux qui y trouvent une ambiance sécuritaire. Ainsi, ils se coupent des autres.
Selon Larousse : On reproche généralement à ces mouvements <sectaires> le caractère exclusif de l’adhésion qu’ils exigent, la rupture qu’ils établissent ainsi entre leurs jeunes adeptes et les familles… Nous en sommes bien arrivés aux « jeunes adeptes » quand ils se font vacciner pour partir en voyage ou autre argument social ou festif, voire reçoivent des récompenses en cas d’acception de l’injection de la thérapie génique à ARNm, sans prendre en compte que ses ingrédients peuvent interférer avec le fonctionnement naturel de leurs corps.
La croyance en vient à chercher à outrepasser la loi pour obliger des soignants à se faire vacciner. Comme toute croyance, elle est rappelée à la réalité concrète : Arrêtez de mettre le personnel soignant non-vacciné sous pression ! « Il n’existe aucune obligation de vaccination contre la Covid ».
Et surtout, il s’agit de reconsidérer l’ensemble de l’espace où s’inscrit une croyance. L’opération Intimidation décrite dans une capsule montre bien les rouages dont dépendent le vaccin anti-covid et aussi toutes les stratégies utilisées pour l’imposer en tant que concept qui s’appuie sur des calculs mais très insuffisamment sur la réalité substantielle et vivante des êtres humains. Cette vidéo décrypte les influences tant politiques que scientifiques qui balaient l’espace du monde vaccinal et influencent la population dans certaines dimensions susceptibles de la déstabiliser.
Il s’agit aussi d’observer et de s’informer autour de soi pour comprendre que le sujet de la santé est complexe et ne peut pas se résoudre en focalisant autant sur un microorganisme et sur une solution qui coûte des milliards dont la dette retombera sur les populations, alors qu’on les séduit par l’annonce de l’apparence gratuité des mesures proposées voire imposées. De plus, il n’est pas dit ce que peut coûter les effets secondaires d’une telle injection qu’on nous présente surtout sous la forme de personnes à l’épaule dénudée qui accepte la piquouze dans une ambiance propre en ordre. Des sportifs de haut niveau en subissent les conséquences dont ils sont loin d’en connaître les suites : « On a de gros problèmes avec la vaccination, car sur le premier vaccin, pendant 10 jours, nous avons constaté une perte de puissance entre 10 et 20% …On n’a pas du tout été informé de la chose. Au départ, on n’avait pas d’explications, mais ensuite, on a vu que tous les athlètes vaccinés avaient cette perte de puissance ». Et dire que l’un d’entre eux avait posé le jour de l’injection car le président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale avait émis, début mai, le souhait que Kylian Mbappé fasse partie des ambassadeurs d’une vaste campagne de vaccination contre le Covid-19 pour sensibiliser le jeune public.
Au lieu d’enseigner aux populations à beaucoup mieux connaître tous les facteurs de santé afin de renforcer les divers fonctionnements de leurs corps, quitte à se faire accompagner par différentes thérapies appropriées, l’OMS présente le nouveau variant par des chiffres afin de préoccuper fortement les gens, d’attendre d’eux qu’ils continuent à se soumettre à des mesures dont ils sont plus que las, et d’être disciplinés comme des soldats. En réalité, chacun crée sa santé au fur et à mesure de son existence et de son environnement. Le museler ne le rend pas responsable et son corps a ses particularités qui n’obéiront pas forcément aux intentions des vaccinateurs. Donnons à chaque individu les moyens de façonner son corps, son âme et son esprit selon les lois de sa nature.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch