par Philippe Huysmans.
Il voulait juste vivre, nous dit son père dans une vidéo bouleversante. Il avait 22 ans, c’était mon unique fils, et il est mort, tué par une saloperie de vaccin qui n’a jamais été validé ni correctement testé, neuf heures seulement après l’injection, sous le regard horrifié des soignants qui n’ont rien pu faire pour endiguer les conséquences du choc anaphylactique violent qui l’a tué.
Il devait se faire vacciner pour pouvoir partir en vacances en Grèce, avec son amie, dit encore le père, qui peine à trouver les mots, qui n’a pas encore accepté l’idée que son fils lui a été enlevé pour toujours.
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que les chacals et autres trolls à gage, sentant le scandale arriver, y aillent de leurs attaques diffamatoires, ajoutant l’insulte à l’outrage, la peine au chagrin. Il ne suffit pas désormais que ce père aie perdu son fils, il devra encore endurer les attaques odieuses.
Ainsi nous avons un sieur Jean-Louis Gagnaire, qui à 8h56 (du matin, donc), se fend d’un tweet disant :
Ah ben oui, forcément, c’est louche si 10 heures après le décès du gamin le père n’a pas encore publié d’avis de décès sur des sites dédiés, c’est très logique. Et donc ça mérite une plainte pour diffusion d’infos erronées à des fin politiques ! Alors entretemps, cet idiot s’est excusé dans un mea culpa absolument pathétique, mais le mal a été fait. Et là on pourrait aussi porter plainte pour diffusion d’infos erronées à des fin politiques ? Voire diffamation, peut-être ?
Midi Libre, qui à 20h nous pond un articulet, dans lequel on peut lire :
Sète : des interrogations sur les raisons du décès d’un jeune primo-vacciné
Lundi 26 juillet, un Sétois de 22 ans est décédé vers 23 h. Une mort tragique attribuée, par le père du jeune adulte, à la première dose de Pfizer que ce dernier avait reçu, à 14 h, au centre de vaccination de Sète. À une très probable allergie alimentaire grave, par des sources médicales concordantes, proches du dossier.
Tout d’abord, le père, dans sa déclaration, parle bien d’un choc anaphylactique, c’est donc le diagnostic qui a été posé en première intention.
Deuxio, pas besoin de rameuter « des sources médicales concordantes », seule l’autopsie (et une culture en labo du contenu de l’estomac du défunt ainsi qu’une analyse toxicologique) pouvant établir avec certitude une intoxication alimentaire comme étant la cause du décès. Essaie-t-on de nous faire avaler qu’une autopsie a eu lieu et qu’ils auraient donc déjà les résultats, notamment sur la culture in vitro ? J’ai de gros doutes là-dessus, ça prend du temps, ces tests.
Je pense que face à un énième scandale, dans une situation déjà passablement explosive, les journalistes à la botte ont été dépêchés d’urgence pour tenter d’éteindre le feu qui menace de partir façon feu de garrigue sous le Mistral.
Mes condoléances au père de Maxime et à sa famille, j’ai personnellement deux enfants à peine plus âgés que Maxime, et je n’ose même pas imaginer ce qu’ils doivent vivre aujourd’hui, et le deuil difficile qui les attend.
Écrit la rage au ventre, mardi 27 juillet à 23h52.