Par Brigitte Bouzonnie.
Résumé de l’article : avec les élections régionales, Macron et la pègre en marche se prennent une taloche de première. L’abstention représente 30 millions d’électeurs, 7 millions de non inscrits. La démocratie parlementaire est en mille morceaux, pareille à la vieille deux chevaux de Bourvil, tamponnée par la belle voiture de Louis de Funes dans le film “Le corniaud” de Gérard Oury (1965).
Le bide électoral de Macron ne doit pourtant pas s’analyser comme un événement isolé. Il rendra ensuite plus facile la venue d’un putch militaire, balayant une Macronie sans légitimité : 65% d’abstentions en moyenne. Et une fausse opposition (France Insoumise), dont 75% des électeurs ont préféré s’abstenir.
Article :
Le bide électoral remporté par Macron hier et dimanche dernier (20 et 27 juin 2021) n’est pas un évènement isolé, que l’on pourrait analyser pour lui-même. Il participe de la féroce guerre civile souterraine, que se livrent mondialistes et nationalistes, depuis les élections truquées, volées grossièrement à Donald Trump, au mois de novembre 2020.
1°)- Une guerre inexpugnable entre le camp mondialiste démocrate et le camp nationaliste de Donald Trump.
Une guerre cruelle, inhumaine, inexpugnable, entre d’une part, le camp mondialiste criminel, pédophile, responsable de la création en laboratoire du virus Covid-19, etc. : les Biden, Obama, Bill et Hillary Clinton, Macron, Merkel, Johnson, gouvernement australien, Fauci, Delfraissy, etc….
D’autre part, le camp nationaliste formé par Donald Trump, l‘armée américaine, aidée de l’armée française, etc, qui multiplient les opérations militaires, et les arrestations du personnel démocrate, PDG américains, acteurs d’Hollywood. On parle de l’arrestation et du jugement d’un million de personnes dans le monde. (L’auteure assume la responsabilité de ses propos. NDÉ).
Macron est en short. La mort de la Macronie par les urnes fonctionne à plein régime. Le score de La pègre en marche (9,1%), le niveau d’’abstention record (65% au niveau national), permettent aux gens peu politisés d’entrevoir, comprendre à mi mots le drame, qui se joue depuis six mois : Macron est cuit. Le camp mondialiste agonise sous les coups de boutoirs de l’armée américaine.
Ce qui n’empêche pas les démocrates pourris et ses alliés ( la “justice” américaine) de donner des coups au au camp républicain. Agir de façon scandaleuse vis à vis des proches de Donald Trump ou des militaires français.
Ainsi, la “justice” américaine a débarqué à six heures du matin chez le juriste Rudy Giuliani, défendant Donald Trump, ex maire de New York. La “Justice” a saisi ses disques durs, smartphones, etc, afin de l’empêcher de travailler. Elle lui a surtout retiré sa licence juridique, afin qu’il ne puisse plus jamais plaider devant les tribunaux contre le camp démocrate.
Par ailleurs, et comme écrit très justement mon ami Gérard Luçon : “vu ton commentaire sur un « putch militaire”(sic) : c’est la crainte du pouvoir. D’où, entre autres, le traquenard tendu au Général Delawarde par Morandini et l’autre type qui se croyait à un interrogatoire de la Stasi. Et diverses réactions virulentes contre ces généraux … “(sic). En effet, il faut savoir que, interviewé sur la chaine Cnews, le Général Delawarde a été coupé d’antenne par le pédophile Morandini. Et qu’il vient d’être mis en examen : pour avoir seulement osé dire que le “Washington Post”, et le “New York Times”, étaient dirigés en secret par le camp mondialiste.
Ces deux anecdotes en disent long sur la violence, la férocité, l’affrontement à mort, que se livrent le camp mondialiste et le camp nationaliste de Donald Trump, dans le hors champ du refoulé, n’accédant jamais dans la bulle des sujets officiels, dont on parle.
Ainsi, c’est au camp mondialiste que l’on doit l’interminable feuilleton des audits électoraux en Arizona et dans quatre autres états américains. Ces états, gagnés haut la main par Trump, ont été arnaqués par le camp Biden, grâce à un algorithme truqué du serveur Dominion : 1,25 pour Biden, 0,75 pour Trump. Ce qui a permis à Biden de “gagner” officiellement ces élections pourries.
Or, les audits, chargés de pointer l’existence de ces fraudes abyssales, trainent depuis des mois et des mois. S’ils trainent en longueur, c’est à cause du camp démocrate, qui ne veut toujours pas reconnaitre sa défaite dans les urnes. Pas sûre qu’à la fin de l’année, on ait enfin une décision juridique claire en faveur de Donald Trump. Ni même un jour futur dans l’éternité de demain.
Comme écrit Gérard Luçon : “La durée de ces audits, contrôles, procédures de validation, en France comme aux USA, pose un problème MAJEUR : la légalité des décisions prises durant la période entre l’élection et le résultat dudit audit/contrôle … Aussi, quelle que soit la conclusion finale, elle ne pourra pas être acceptée sans tout chambouler, et donc aucune décision d’invalidation ne pourra être prise, sauf à entrer dans des périodes de graves troubles.
Gérard a tout à fait raison. Les audits, c’est comme une action en justice : plus tu laisses trainer, plus c’est difficile d’infirmer la réalité par la seule action en justice. In fine, tout se jouera au rapport de forces, grâce à l’armée américaine.
Contrairement à ce que pronostiquaient nombre de lanceurs d’alerte (Alexis Cossette par exemple), le retour de Donald Trump à la Maison Blanche ne se fera pas comme on appuie sur un bouton. Je reste foncièrement optimiste sur l’issue de cette guerre entre démocrates et républicains : Trump va finir par l’emporter : mais il lui faudra du temps, beaucoup plus de temps que prévu au départ. Et le tribunaux, audits, etc, ne joueront aucun rôle de bascule véritable.
2°)- La veste électorale prise par Macron prépare le terrain à un putch militaire :
La tôle électorale prise Macron de la part du Peuple français n’est donc pas un événement isolé.
Comme écrit justement Alain Benajam : “c’est une abstention politique, qui a frappé la France et non pas le désintérêt de l’avenir du pays. Ceci est extrêmement positif pour notre avenir.
Le FRN est en train de perdre son électorat déçu comme l’ex PCF l’avait perdu : c’est la sanction, quand on ne pratique plus la politique que les électeurs attendaient.
Pour nous vendre un duel Marine Macron avec castors en embuscade les journalopes auront du mal”(sic) (Facebook du 28 juin 2021).
Oui, l’abstention est politique : elle représente 30 millions d’électeurs et 7 millions de non inscrits. La démocratie parlementaire est en miettes, pareille à la vieille deux chevaux de Bourvil, tamponnée par la belle voiture de Louis de Funes dans “Le corniaud” (1965).
LREM aussi a perdu son électorat de cadres urbains boboïsés, touchés à son tour par la folle gestion du Covid-19 par Macron et ses sbires, depuis mars 2020. Electorat certes longtemps protégé sur le plan économique, mais subissant aussi à présent les retombées du confinement/arrêt brutal de l’économie, en termes de plans sociaux et de chômage de masse, qui frappent désormais la population salariée des cadres.
Curieux de n’entendre aucun commentaire sur le sujet, alors que ce décrochage des cadres signe la déroute électorale présente et à venir du petit poudré. Et son inévitable arrêt de mort politique.
La beigne électorale que s’est prise Macron rendra plus facile la venue d’un putch militaire, balayant une Macronie sans légitimité. Et une fausse opposition (France Insoumise), dont 75% des électeurs ont préféré s’abstenir.
Personne ne prendra la défense d’un régime discrédité, arrivé à l’Elysée par fraudes abyssales, en siphonnant toutes les listes adverses, y compris celle du NPA et de l’UPR. Aux yeux de tous, la Macronie apparait pour ce qu’elle est. Seule. Larguée par tous les soutiens d’hier. Privée de toute base sociale. Que plus personne ne défend dans l’opinion et sur le terrain.
Une Macronie, qui ne “tient”, que grâce aux tourbillons de mensonge déployés par les médias aux ordres, chaque jour, 24 heures sur 24. Mentir en cadence, encore et encore, faire croire que Macron est plus haut dans les sondages de jamais (cf. sondage bidonné de LCI et de Harris interactive la veille du second tour) a l’immense “mérite” (pour le pouvoir en place), de désorienter les consciences des français peu politisés. Les empêcher de prendre la mesure de la Bérézina dans laquelle patauge le petit dictateur créchant encore à l’Élysée.
SOURCE : 7-de-lhexagone