À lire !!!
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d'ingénierie sociale
Nous vous proposons aujourd'hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de " complotiste ". C'est qu'à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l'auteur présente une bonne...
Merci pour cet article,
Une bonne synthèse de ce à quoi nous avons à faire. Tout y est ou presque. En fait, le bon côté de la Couronne19/20 c’est qu’elle amène en pleine lumière les coulisses de ce monde en vrac, attaqué de toutes parts, par derrière, par des lâches obscènes qui en disent long au travers de leurs pratiques. Tout au plus sont-ils pourtant que de la morve ou des glaires ! Ces coulisses passent donc de l’ombre à la lumière bien que tout était déjà sur la table depuis longtemps déjà. À la condition de chercher un peu et d’en avoir les moyens. Concernant la Covid des avides messianiques complètement barrés, ce qui m’a mis la puce à l’oreille à propos d’une opération possible d’ingénierie sociale en cours, c’est de voir le monde économique se jeter sur ce joyau viral tombé du ciel, promu à grand bruit, comme étant la cause de la pandémie économique en cours, instrumentée de longue date, qui elle, fera ses 65 millions de morts et bien plus encore, lorsque la déflagration économique à fragmentation se produira. Déflagration qui ne devrait plus trop tarder à présent. Pour en revenir à l’oreille pucée 5G, je griffonnais sous la dictée de l’intuition (6 mars 2020), ce titre chapeautant un texte :
Titre :
Et si le coronavirus était un précurseur de la grande réinitialisation – ou reset ?
De connivence avec les chinois ?
Ou pas...
Avec les russes ?
Pas si sûr…
Les Américains et leurs valets ?
Tout est permis avec « l’OXYDANT » qui s’oxyde à vitesse grand V
À force d’occire tout ce qui n’est pas lui
Chant du cygne ?
Noir ou blanc ?
« … à suivre... »
Ainsi avais-je mis le doigt dans la confiture de la Covid qui nous était servie avec ses ingrédients, suivant de jour en jour le discours des uns et des autres, comparé au déroulement des évènements.
Sacré feuilleton !
D’où vient cette mise en lumière aussi rapide de la grande esbroufe à l’œuvre, sa cause, sa dynamique, ses objectifs ? D’où cela vient-il, par-delà les réseaux sociaux et les vigies lanceurs d’alertes ? (Pour faire court.) Il me semble que cela provient aussi, surtout, de la précipitation dans la mise en musique de tout ce barnum, dans l’urgence. Déployé avec fébrilité ! Sans prendre de gants et de moins en moins masqué. (Le masque, cette petite chambre à gaz portative. Sans grande imagination pour finir ; pour en finir avec les inutiles, les non-humains aux yeux de certains, plus élus turlututus que les autres. « L’élite » des pervers-narcissiques, psychopathes et autres tordus qui tiennent le monde ne commençait-elle pas à ressentir de la peur ? Ou au moins de la crainte que ne se referme la fenêtre qui doit/ou devait lui permettre d’instaurer son foutu gouvernement mondial, global. Dont le siège doit/ou pourrait être implanté à Jérusalem, tel que rêvé à voix haute à la télé par l’inénarrable Jacques Attila (pardon, Attali), grande figure de cire en France ? Pro-Euthanasie pour les plus de 60 ans, sauf pour lui, 75 ans aux prunes environ ; détrousseur de pauvres étant son cœur de métier avec ses banques de micro-prêts, pour les pauvres, à 20% du bout. Et gare à mes gros bras pour retard de paiement. Cuicui… LOL.
La précipitation et l’exhibitionnisme ne seraient-ils pas leur tendon d’Achille aujourd’hui ?
Et voilà que tout risquait de tomber par terre (Davos 18/19) – pensez-donc - toutes ces années perdues (75 ans de fomentations puantes) !!! Les mouvements de révolte se multipliant partout dans le monde contre cette morve qui pue la mort. D’où les gilets jaunes en France qui commençaient à donner des idées à d’autres peuples d’Europe par exemple. Tout comme les anglais sortis de l’Europe de Bruxelles (autre nid de vermines avec Davos et moult officines…) La peur, l’inquiétude, l’angoisse même, les poussant à accélérer les choses, ce qui est propre à commettre des erreurs grossières ne pouvant échapper à la radiographie du bon sens commun. Amplifiée par de grands professeurs là pour soigner, faisant preuve de sacerdoce pour ainsi dire, et non pour tuer volontairement, au service d’une mystique sombre, dégoutante. Pour le moins… En voulons-nous au fond de cette bouillasse pour un avenir radieux carcéral, pire que les camps ?
Ceci posé, il reste le ‘Quoi faire’ pour les coiffer au poteau d’exécution ?’
Ainsi que le/les ‘Comment(s) ?’ pour y parvenir…
Les gilets jaunes, c’est terminé (en tant que tels), rattrapés par les profiteurs, les opportunistes, les manipulateurs jacobins qui y trouvent leur compte en coulisse, à la capitale, le nombril du monde, c’est bien connu... Il est intéressant que Drouet le camionneur meneur du mouvement n’ait rien trouvé d’autre à faire (raccrochant les gants de la lutte), que de courir s’acheter une Jaguar. Tout un symbole !
Reste ne’nœil qui n’a qu’un œil, bon pied bon œil, ce qui est à voir…
Même si les gilets jaunes en province existent encore au sein d’associations, de collectifs, de groupes de réflexion, d’entraide, de solidarité… de là à retourner au front se faire égorger pour pas grand-chose à l’arrivée, confrontés à des bouchers, il y a une marge. Chat échaudé craint l’eau froide ! Quand bien même les « leader’price » parisiens autoproclamés du mouvement s’époumoneront, autant qu’ils le pourront, pour remettre le couvert des manifs à la Rollerball sabbatiques et grandes messes télé. En revanche, il y a un fond de sauce, celui des ronds-points, des provinces, susceptible de s’incorporer à une nouvelle mayonnaise, montée en neige d’une autre façon, qui intègre d’autres ingrédients que le sang humain versé pour rien à l’arrivée.
L’art suprême de la guerre n’est-il pas de défaire l’adversaire sans verser une seule goutte de sang ? De quelque côté...
J’ai longtemps lutté de mano à mano, en face à face, avec le pouvoir français (Gauche, Droite) et son administration. Raison pour laquelle je sais cela possible : les déborder. Je n’irais pas plus loin ici pour ne point dévoiler, à l’adversaire, certaines blagues pouvant lui être faites pour le fatiguer, l’épuiser. Tout au plus puis-je évoquer la créativité, l’humour, le mouvement, l’esquive et courses-poursuites ; le foutage de « gueules », le tourner en dérision ; l’usage de la surprise, des mots bien pesés, des images bien léchées, des symboles ajustés au petit poil, et ainsi de suite. Dans une ambiance festive pour gonfler ou regonfler les troupes auto-organisées en petits groupes mobiles, interconnectés de milles façons, couvrant toute la France. Multipliant les petites victoires parce qu’ils font ce qu’ils disent, sans attendre, procédant par le biais des angles de moindre résistance, partout sur le territoire. À les rendre fous les zazous-zombis-bobos-bonobos-bios-paranos du politiquement correct. Tu parles !!! La victoire est encore possible mais il va falloir mouiller le burnous avant qu’elle n’aboutisse. Ils ne rendront rien, tout devra être repris.
Reste à renouer d’ici là avec la Poésie de la Vie
Sacrées jumelles !
Poésie/Vie – Vie/Poésie
Ne serait-ce pas là un bon équipement pour scruter l’horizon ?
À la recherche de l’aller où ? Dans quelle direction ?
De retour sur Terre
Enfin…
Recouvrant par-là la respiration
Qui alimente l’inspiration
Souffle à son tour de l’aspiration
À…
L’élévation
Une nouvelle Poétique de la Vie qui rassemble
Partagée dans ses grands traits par « l’Humanité » réconciliée
Une Humanité qui reste à faire ou à refaire, c’est selon
Un immense chantier pour ce siècle de tous les dangers
Où pour la première fois une espèce est en capacité
En pleine conscience
De faire le choix entre disparaitre entièrement et la pérennité
Pour les 1 à 3 milliards d’années qui restent à cette Planète extraordinaire
Avant l’extinction du soleil
Poursuivre l’aventure humaine ou disparaître ?
Seule et unique question de la plus grande importance actuellement
Le reste n’étant véritablement
Qu’un problème d’intendance, de comportements et d’état d’esprit
Une question totalement entre les mains du grand nombre
Du très grand nombre
Face auquel la racaille en très petit nombre ne fait pas le poids
Reste à trouver, imaginer, pour l’essentiel, le récit commun, partagé
Dans ses grandes lignes, ses grands traits
Libre à chacun des peuples de tisser sur ces fils de trame
Sa propre tapisserie, ô combien précieuse pour sa contribution au pot commun
Mais ce n’est là encore qu’un point de vu personnel
Merci une nouvelle fois à l’auteur et l’éditeur pour cet article fouillé, relayé dans la foulée sur mon blog, avec votre permission, je l’espère
Cordialement vôtre
Bernardalex point comme
artiste plasti’cœur à ses heures