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Coucou me revoilou ! Une déconnexion salutaire se révélait nécessaire en ce bas monde psychiatrisé, tenu par des fêlés de la cafetière
Coucou me revoilou ! Une déconnexion salutaire se révélait nécessaire en ce bas monde psychiatrisé, tenu par des fêlés de la cafetière

Vent de folie impure sur la planète Terre !

De retour dans mes pénates il était prévu de pondre un texte nourrit à l'air frais d'une pérégrination en forme de quête. Mais il en fut tout autrement, happé telle une bouffé de fumée, aspirée (carton roulé ) dans les tuyauterie de ce monde devenu fou. Au point où cette Planète est en train de devenir un asile psychiatrique, tenu par une bande de dégénérés de la pire espèce. Est-il encore besoin d'en faire la démonstration ? Il suffit de voir un peu partout parterre ici et là  l'amoncellement de masques et de gants talqués hyper-taxés qui jonchent le sol des villes et villages à présent.

Partout le virus prolifère

Ce qui en dit long sur cette société qui part à vau-l'eau

sous les coups de boutoirs de bobos déjantés se prenant la grosse tête

celle d'enluminés obscurantistes 

tendances eugénistes, malthusiens sanguinaires, totalitaristes

sadiques, cyniques et ainsi de suite...

Pour en revenir aux pénates, (faisant suite à quelques jours de mise en retrait vis à vis du net), assis sous le figuier devant un verre, une petite soirée tranquille s'annonçait, baignée dans la douceur d'un couchant bercé par une légère brise salvatrice. Quand tout à coup, sursaut, coup de tonnerre autour de la terrasse surplombant la scène qui va suivre, accouchant dans la foulée d'un texte n'ayant plus rien à voir avec ce qui était envisagé à l'origine.

Le voici :

12 juillet 2020

Je viens d’assister à une scène de théâtre faramineuse, donnée par une femme possédée. Un spectacle qui m’a fait penser tout de suite au moyen âge. Pour quelle raison ? Étant donné que je n’ai pas connu le Moyen-âge, pourquoi le Moyen-Âge ? Après tout je n’y étais pas.

Il s’agissait d’une femme, disais-je, sans dessus dessous, qui manifestement « avait perdu la tête », tel un canard décapité courant en tous sens dans un jardin d'Arabie. Une femme, qui déambulait dans un village en criant tel Antonin Artaud à la radio, hurlant comme une sorcière, voutée, tordue par ce qui l’habitait. Hurlant ! Hurlant : « Mère de Dieu, Mère de Dieu, Mère de Dieu... » Comme envoutée, à la recherche dans les poubelles de je ne sais quoi.

Je connais cette femme, en glissade depuis longtemps, à qui je n’ai pas tendu la main en mon temps, (je n’en ai que deux malheureusement), l’ayant croisée quelques fois, artiste de son état. Époque à laquelle les affaires du monde m’occupaient à plein temps. Ce qui n’est pas une sinécure, loin de là. Il reste que cette Femme, au bout du rouleau, seule, abandonnée, d’un âge avancé, hurlait, hurlait au désespoir, comme un chien hurlant à la mort, là, sous mes fenêtres, dans un village Varois de taille moyenne.

Non ! Ce n’est pas de la science fiction, c’est un fait dont je fus le témoin oculaire. Les images associées me rappelant les cérémonies de désenvoutement (N'Doep) auxquelles j'ai participé pendant près de Vingt ans au Sénégal, sous la protection de mes frères Lébous. Expérience très particulière qui nécessite pour un "blanc" d'avoir la tête, les tripes et les sens biens accrochés pour ne point sombrer.

Je regardait cette femme de ma terrasse tourner autour de la maison, hurlant, hurlant sa souffrance : Mère de Dieu, Mère de Dieu, mère de Dieu... comme habitée, ensorcelée, en état de possession pour ainsi dire, hurlant à qui voulait ne pas l’entendre crier, sans relâche : Mère de Dieu, aies pitié de moi. Éructant, postillonnant, sans masque, voix grave, désordonnée, de folle si l’on peut dire, en proie au désespoir qui ne manquera pas de la conduire au suicide si son état venait à s’aggraver. Soyons sans crainte, il ne fera qu’empirer au vu de ce qui vient de se passer sous mes fenêtres. Une bouche de moins à nourrir diront les Macronistes bouffons, bon teint, bon pied bot mauvais œil.

Ouvrant mon ordi à la suite de cet évènement, je découvrais que l'état de la Planète catastrophique étaient bien pire encore qu'avant ma mise en retrait pourtant courte en définitive, une quinzaine. Négligeant ce blog pour finir, absorbé tout entier dans mes recherches, lectures, visionnages et autres... Ainsi en étions nous arrivés là, si bas. D'où cette référence au Moyen-Age sans doute, les cultes de possession et Antonin Artaud interprétant une pièce sonore écrite par lui, diffusée à la radio sous le titre : Pour en finir avec le jugement de Dieu. Titre que je paraphraserai ainsi aujourd'hui : Pour en finir avec la morve du diable !

"De nombreux jeunes artistes seront marqués par Artaud, par sa personne et par sa quête utopique, visant à se libérer soi-même et à libérer la société de toute aliénation. À Paris, les poètes qui travaillent l’oralité et la technologie du son se réfèrent tous à l’auteur de la célèbre pièce radiophonique Pour en finir avec le jugement de dieu (1947). Parmi eux : François Dufrêne, Henri Chopin, Bryon Gysin ou encore Bernard Heidsieck." SOURCE BNF

Étant donné qu’il n’y a plus rien à attendre des politiques vendus aux partis de l’étranger, ne serait-il pas temps de nous organiser nous-mêmes pour inverser la vapeur ? Et il y a des solutions. Qui nous empêche de les mettre en œuvre dès maintenant, avant que le pire imminent se produise ? Ce ne sont pas les idées et les exemples qui manquent pour remettre à l’endroit les choses. Au moins sur leurs deux jambes ! Ce qui serait un bon commencement. C’est la volonté qui compte en premier, le reste est une promenade, sur les traces des anciens, à la recherche du bon sens perdu et de la sagesse qui visent la qualité et non l’excellence dans la roublardise. Soyons fous mais pas tarés !

Il reste que cette femme errante, au désespoir, déambulant dans les rues du village, de poubelles en poubelles, à la recherche d’un quignon de pain, est un signe qui nous dit bien des choses en devenir (là ! demain ! ou tout de suite !), en train de survenir pour le plus grand nombre s’il reste assis sur son cul, scotché sur ses écrans factices frappés d’obsolescence programmée. Vaste escroquerie qui relève des tribunaux. Le temps est venu de s’organiser de proche en proche, interconnectés, tant par Face de Bouc que les pigeons voyageurs et autres coursiers.

Il reste que cette femme qui déambule dans les rues du village est un cygne noir qui en dit long sur ce qui est en train de survenir, en ce moment même, un peu partout en France, sans relais à la télé, bien sûr... Un phénomène en cours bien plus terrible que cette frauduleuse pandémie instrumentée pour détourner les yeux du public de ce qui survient en ce moment, quant à la plus grande escroquerie de tous les temps en cours. Sauce extermination de masse à l'échelle industrielle des vaccins trafiqués, créés à la gloire de Malthus par ses Talibés.  Rien n’est perdu pour autant, à la condition de redresser la tête et de s’organiser de proche en proche pour faire face à notre responsabilité :

Pérenniser l’aventure humaine

ou y mettre un terme, là, maintenant, tout de suite ?

Telle est notre responsabilité.

Le reste n’est que branlette intellectuelle...

Debout les gens (vous et moi), nous sommes le nombre

Toutes et tous, soyons confiant, ils ne sont rien

Tout au plus une petite poignée de "vaut rien"

Des parasites type Covid

Qui, en quelques petites pilules bien ajustées pourraient êtres anéantis

Ayez confiance ! 

En vous-même

En route pour la victoire sur la duplicité

 

Bernard-Alex Le Moullec 

Ariste plasti'cœur à ses heures

Aout 2020

Coucou me revoilou ! Une déconnexion salutaire se révélait nécessaire en ce bas monde psychiatrisé, tenu par des fêlés de la cafetière
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Coucou me revoilou ! Une déconnexion salutaire se révélait nécessaire en ce bas monde psychiatrisé, tenu par des fêlés de la cafetière

 

Et pendant ce temps,

malgré la chape de plomb que l'on tente d'ajuster sur les têtes

la résistance s'organise - par petites touches - pour le moment... 

La vie, la nature des choses n'a pas dit son dernier mot

 

 

Coucou me revoilou ! Une déconnexion salutaire se révélait nécessaire en ce bas monde psychiatrisé, tenu par des fêlés de la cafetière
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