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Apocalypse 13:1-2 - Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes... La bête que je vis était semblable à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité.

Le grand foutage de gueule d'un Plus jamais ça, ô combien cynique et vicieux

En mondiovision !

Un rassemblement de représentants des pires pays meurtriers de l'Histoire, passée présente et à venir. Tous complices d'une sorte de Davos des holocaustes sacrificiels de masse en bande organisée, dédiés à Mammon. Holocaustes dont Auschwitz n'est que le symbole des symboles vengeurs brandis au-dessus des têtes de celles et ceux qui n'y participèrent pas. Une pleurnicherie de façade théâtralisée pour attendrir la viande humaine promise en coulisse à l'abattage. Un pince-fesses qui en dit long sur la Bête et ce rassemblement tenu à deux pas seulement de massacres perpétrés depuis 70 ans, se perpétuant (avec la délectation habituelle), à l'instant même où se déroulait tel un tapis de morts l'orgie anthropophage arrosée de sang frais. Une célébration "vaudoue" en quelque sorte dont le grand prêtre invoquait surement dans sa tête celles et ceux qui l'ont précédé.

En marge des festivités, certains allant faire leur cinéma pour la galerie, les chaussures maculées du sang encore frais des palestiniens massacrés 24 heures sur 24 depuis 23 375 jours. Plus belle la vie ! Soyons printemps en même temps.

En mondiovision !

Le grand foutage de gueule d'un Plus jamais ça, ô combien cynique et vicieux
Le grand foutage de gueule d'un Plus jamais ça, ô combien cynique et vicieux

OUI !

Plus jamais ça

Au plus vite et pour de vrai

Le reste n'est que pince-fesses

Pour conclure !

Collage techniques mixtes

Collage techniques mixtes

Un collage qui m'a coûté car il fallut le réaliser, jour après jour, sur plusieurs années, parmi ces corps des camps de concentration, en noir et blanc, et ceux, (en regard ou entremêlés avec les premiers), d'enfants brûlés vifs au phosphore blanc et/ou déchiquetés avec sadisme. À en faire vomir le diable en personne !                               

J'ai grandi dans une famille de déportés, en relation avec deux rescapés, un oncle et un ami de la famille juif polonais (m'ayant sauvé la vie, adolescent). Jamais ils n'auraient fait de telles choses après avoir vécu ce qu'ils avaient vécu. Jamais ! Lorsqu'ils se sont rendus là où ils avaient été détenus, ils le firent avec discrétion et sans jamais gémir sur le sort qui leur avait été réservé. Quant à ceux qui y étaient restés et dont on m'avait parlé et reparlé, peut-être étaient-ils parmi ces corps que je découpais sur les photos glanées sur le net, pour former cette rivière de corps partant des camps allemands à celui de Gaza, bien pire encore puisqu'il est le laboratoire de marchands de mort génocidaires à ciel ouvert et à petit feu, sur des années et des années... Sans que cela se termine.

Au nom de qui ? Au nom de quoi ?
D'où ce collage douloureux qui m'a valu quelques histoires
Mais bon, c'est le lot des artistes plasti'cœur au fond

Bien à vous lecteur, ou à toi, c'est selon...

PS : Voici un article qui tombe bien à propos

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