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Le texte précédent cette publication n'est pas sans lien avec un collage en cours et l'extrait d'un texte de mon nouveau manuscrit ici dévoilé
ÉCRIT EN FÉVRIER 2017 EN RÉPONSE À MA CORRESPONDANTE

 

 

J’avoue n’avoir lu aucun ouvrage de cet auteur, ne connaissant le personnage qu’au travers de son image médiatique. Ce qui me permet aucunement de voir ce qu’il entend par : décadentisme. Tout au plus puis je me référé ici à  : Pasolini et son : Salo ou les 120 journées de Sodome ; voir Marco Ferreri avec La grande bouffe ; ou encore le Marquis de Sade dévoré à l’âge de 18 ou 19 ans dans les années 70. Des visionnaires en ce domaine ! Tout était dit sur ce qui était en train de se produire. Mais peut-être suis-je à côté de ce qu’entend par là Houellebecq ? Quant à la rage, les rages stériles que vous pointez, ne sont-elles pas que le symptôme de ce monde malade, mortifère, dans lequel nous nous trouvons piégés, tous autant que nous sommes ? Malgré nous, voire même, avec notre complicité hyperactive, consentante, telle que décrite par Chomsky dans la fabrique du consentement (par exemple). Même si Chomsky sur d’autres sujets peut n’être point ma tasse de thé. Lire aussi Naomi Klein et en particulier : La stratégie du choc. Et ou Lucien Cerise et son : Gouverner par le chaos ingénierie sociale et mondialisation.  

 

Pour en revenir à ces rages, rendues stériles par un grand nombre d’artifices qui font feu de tout bois, avec un art consommé, consumé jusqu’à la moelle des bûches, il me semble qu’elles sont le produit, l’expression, d’une immense frustration, bien réelle, douloureuse, entretenue. Frustration orchestrée depuis la coulisse pour qu’elle se retourne, précisément, contre celles et ceux qui développeraient ces rages dans leur for intérieur, à l’encontre de la véritable cause de leur mal-être – qui n’est autre que la clique du 0,01%, avide, jamais rassasiée. Une frustration plus ou moins consciente, générant un sentiment d’impuissance, instrumenté par le discours ambiant qui prétend que nous avons atteint l’indépassable. Circulez, y’a rien à voir, vous êtes les seuls responsables, vous, les manants, les gueux, les gens de peu. Le tout énoncé ouvertement, sans gants. Comme un gant jeté au visage ! Le relever ce gant et leur foutre une bonne raclée, méritée, justifiée, légitime.

 

Et que les choses soient ce qu’elles doivent êtres !!!

Amen

 

Circulez, y'a rien à voir point barre, fin de l’Histoire est il brandi quand un grigri. C’est nous qu’on sait ce qui est bien ou mal nous est il rétorqué. C’est vrai il existe une frustration terrible, sans prise pour la surmonter, qui finit par conduire des femmes à s’enrouler sur le ventre des ceintures d’explosifs. Ce qui en soit est contre-nature, au féminin pur. (Sans sexisme de ma part, bien sûr.) Par les temps qui courent à notre perte il vaut mieux sortir couvert sous une capote d’excuses. On en est là, ma foi, j’oserais dire, (même si cela relève du politiquement incorrect), nous avons affaire à un projet dynastique sournois qui remonte à quelques 300 ans, (si j’ai bien compris), et plus selon les sources. Un projet messianique fomenté, fermenté, façonné de longue haleine, fétide et de longue date, mis en musique par une poignée de gredins terriblement intelligents, qui pensent noir alors qu’ils disent blanc, ou inversement – et qui s’en ventent. (Qu’il suffise pour s’en convaincre de taper sur Gogol ces mots clés : nouvel ordre mondial citations.) Une faction, dont la seule obsession consiste à stériliser le monde, tel que nous le connaissons. Détruire ! De fond en comble, de jour en jour, par tous les moyens possibles à leur disposition, frustrés qu’ils sont de n’êtres que des êtres stériles au bout du compte, incapables de créer quoi que ce soit qui tienne la route ; n’étant tout au plus que des parasites immondes, des voleurs de poules, depuis la nuit de leur temps, adeptes du chaos. Des mégalos hors sol ayant pour obsession de recréer ce monde, à l’image de leur grand délire de domination absolue sur le multivers tout entier. Or il se trouve que la plupart des leviers sont aujourd’hui entre leurs mains, (acquis sournoisement). Des personnages bien connus, qui ne s’en cachent même plus, tellement imbus, arrogants, orbi hubris, sûrs de leur fait. Et ce n’est pas la fête, il suffit de le constater dans nos rues pour s’en rendre compte. Ces monstres ne nous veulent rien de bon...

 

D’où ces frustrations, ce sentiment ambiant d’impuissance, ces rages multiples, multiformes, sans conscience la plupart du temps quant à ce qui se trame vraiment dans le dos du plus grand nombre. Des rages qui ne mènent nulle part, sauf peut-être à l’épuisement, pendant que l’agenda se déroule inexorablement, sans vergogne, avec un cynisme affiché jamais atteint jusqu’ici. Une désintégration voulue par des énergumènes échappés de l’asile est dans les tuyaux, elle vient de loin, engendrée par une poignée d’apprentis sorciers sans état d’âme, se prenant pour « Dieu » lui-même. Grands serviteurs en vérité du porteur de lumière (voir BHL dans ses œuvres). Cela peut paraître excessif, hors de propos, voir « complotiste » selon la terminologie « discréditrice » en forme d’anathèmes définitifs lancés à la ronde pour épouvanter, casser, salir, détruire. Mais la vérité finira par avoir le dessus, crainte immense de ces détraqués qui pompent l’air au monde entier.

 

N’avait k pas inventer l’internet !

 

Il reste que tout est sur la table, par écrit, sur vidéo, en radio, à la télé, en bibliothèque, dans les archives aussi. Tout est posé, là, sous nos yeux, sans complexe. Pour peut que l’on cherche un peu et donc, à condition de bien vouloir ouvrir les yeux, le cœur bien accroché et la tête bien charpentée concernant les sujets brûlants.

Et sur ce sentier tout commence par la sidération. Boum !

En pleine tête.

Ce qui, il est vrai, n’est pas à la portée de n’importe quel quidam que de s’exposer sans filtre à cette noirceur, cette puanteur, propagée depuis des siècles par les adeptes de la rédemption par le mal fait aux autres. Simple constat ! Celui d’une décadence assez monstrueuse qui pourrait très bien aboutir en des temps très proches à la destruction complète de cette Planète, et nous avec, ce qui me révolte et me met parfois en colère, je l’admets.

 

- Mais de quoi j’me mêle ?! (Lancent déjà les inquisiteurs de cette secte, si l’on peu dire.)

 

JFK en parlait déjà en ces termes avant d’être abattu de sang froid par des lâches quelques jours plus tard. Toujours les mêmes ! Le même genre d’individus de père en fils au travers des siècles – traçables - sur des générations entières.

 

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