Lu ce matin
"...Même si le camp de Guantanamo vaut aux États-Unis de vives critiques internationales sur les violations flagrantes des droits de l’homme, pas question pour Donald Trump de renoncer à ce camp controversé. D’autant plus qu’à Cuba, les Américains peuvent se permettre beaucoup plus de choses que chez eux..."
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Trumpette de la mort
J’ai eu cru par le passé qu’Obouana le ferait, l’ayant promis : la fermeture de cette obscénité qu’est ce camp de concentration aux pratiques dignes des nazis. Raison pour laquelle nous avions entamé le tournage d’un petit film avec un ami, à l’attention du sérénissime prix Nobel de la paix. Il était prévu de le lui adresser accompagné de mon costume orange floqué. Puis il s’est révélé tel qu’il était le bougre, j’ai donc remis le costume que je porte encore aujourd’hui dans mon atelier, voire dans la rue quand je vais faire les courses, ou pour me promener. Ce qui donne matière à discussions.
Pour quelle raison je m’obstine ?
Pour ne jamais oublier tout ce que les « occidentaux » commettent comme crimes immondes, au nom des droits de l’Homme, de la démocratie, des lumières et autres inepties. Guantanamo étant le symbole criant de la puanteur sous-jacente, qui émane à plein nez des bouchers qui nous tiennent lieu de dirigeants. Tu parles de dirigeants ! Des frustrés, transformés en petites frappes, et encore, sous la protection de gardes du corps fournis pour un temps par leurs maîtres. Qui un jour ou l’autre s’en débarrassent comme des kleenex, des capotes ou des Tampax usagés (les noms ici sont légions).
Quant à la Trumpette je n’en attendais rien de précis, sauf peut-être qu’il nous évite une guerre nucléaire « mondialissime ». Elle viendra moins vite que si c’était la folle qui avait pris les manettes. Il reste que le moindre accident sur les terrains de guerre ouverts et boooummm… Badaboum. Peu s’en soucient. Mais bon, soyons optimiste comme on dit. Il reste que ce diable d’homme, (tout comme le Brexit), a servi de révélateur. Celui d’une réalité dissimulée derrière des masques qui disaient le contraire de ce qu’ils cachaient derrière. D’où cette hystérie, cette danse-de-saint-guy à laquelle nous avons assisté au plus fort de la fièvre. Qui n’est pas entièrement retombée aujourd’hui. C’était comme si cette séquence ressemblait à s’y méprendre à cette histoire qui s’est produite à Pont-Saint-Esprit (ça ne s’invente pas), cliquez ici pour voir. Toute la crème des « zélites » « occidentales » de tous bords les bras en l’air, se roulant par terre, se griffant le visage, éructant des formules pleines de vomis et de postillons, avec en sus des crapauds leur sortant par les oreilles et les trous de nez. Pas très beau à voir, soi-dit en passant.
Tout le monde a vu.
MINCE !!!
(Enfin, presque tout le monde.)
Soyons justes
Au contraire de ces gus
Au volant du bus
Assez vu en tout cas pour approcher un peu plus du fameux seuil critique qui fait que tout bascule tout d’un coup. D’où la panique autour de l’internet, et surtout, de la recherche de vérité dont s’entiche de plus en plus de monde, bien conscient que l’on se fout de sa gueule à longueur de journées, comparant les faits par eux-mêmes à ce qui est dit. Ce n’est pas tant les réseaux sociaux que le bouche à oreille, de visu, qui est le plus important en fait. Le proche en proche fait tâche d’huile inexorablement, s’enracine, jusque dans les campagnes. Silencieusement. Avec toujours ce conseil entre chercheurs : allez voir par vous-même et on en reparle. Voici quelques mots clés, bonne promenade. J’observe tous les jours combien les choses ont évolué parmi mes semblables, en nombre et en qualité d’analyse quant à la réalité de ce monde éventé qu’on nous vend à longueur de journée, nuit et jour. D’où cette police de la pensée en train de se mettre en place, en attendant les camps, que Guantanamo aura contribué à banaliser. Et ce qui se passe là-bas n’est rien d’autre que de l’acharnement sadique, qui informe, qui renseigne sur la qualité mentale de celles et ceux qui l’instiguent, et les autres, qui appliquent de bonne grâce en se réjouissants, le sexe en bataille.
Qui n’en veut ?!
Moi pas
Fasse que tout ce tintamarre généré autour des « défèque-news » accélère le désir de ré-information. C’est la bonne méthode en France. Colle une interdiction quelque part et tu peux être sûr que les français vont commencer à aller voir de plus près. Pire, ils vont se mettre à transgresser. J’ai souvenir d’une histoire qui me fut racontée dans ma jeunesse à propos de l’introduction de la pomme de terre en France, rejetée au début par les peuples français semblait-il. La cour en fit un met royal à la table du roi et le fit savoir. Royauté et seigneurie plantèrent des pommes de terres un peu partout, gardées par des hommes en armes. Avec l’ordre de tirer en l’air en cas d’intrusion décelée. C’est ainsi que les français adoptèrent la pomme de terre, en commençant par les voler la nuit parce qu’elles leur furent interdites. Et les français de caractère aujourd’hui sont encore majoritaires car ce virus se transmet. Même aux étrangers !!! C’est une idée en l’air, qui ne mange pas de pain (ni celui des français, ni celui des étrangers), puisqu’il est question ici de pommes de terre, en France, importées à l’origine de l’étranger, pour nous sauver de la famine.
Comme quoi…
Bonne soirée
Un artiste plasti’cœur…
X.