Même dans le ciel…
Partout des signes
Pourtant visibles
De plus en plus visibles
Passent inaperçus
Là
Sous notre nez en pleine figure
En pardessus bras dessus bras dessous inaperçus
En de multiples figures entrelacées
À l’insu et pourtant juste au dessus
Comme autant de blessures portées dans les flancs du ciel …
Ciel !!!
Je me souviens avoir lu par le passé : La lettre volée, d'Egar Poe (une nouvelle). Il y a comme ça des textes qui vous marquent à vie. En pleine tête. Avec des mots magie. Une lettre, cachée là sous les yeux cachetés des protagonistes, tellement évidente, bien en évidence sur la commode ou la cheminée, qu’elle en devenait invisible. Comme drapée dans une étole d’invisibilité. Une autre forme de magie me vient à l’esprit en évoquant le sujet de l’invisibilité. Celle utilisée dans la rédaction de contrats par exemple. Le mot ici employé est : TRANSPARENCE !!! C’est là, sous les yeux, mais on y voit que du feu. Voir au travers voir de travers, bonjours les bris de verres. C’est comme de regarder à l’envers dans des jumelles, par l’autre bout de « là l’ornière ». Il existe même des gris-gris qui rendent invisible et surtout, imprévisible. Imprévisible n’est pas lisible, visible. Se rendre invisible, positionné dans un angle interstitiel de vie, comme dans la luminosité du rai de lumière jaillissant d’une porte entrebâillée, dans la nuit du mensonge institué. Un gris-gris qui rend invisible, transparent, d’une certaine manière, que je garderai secrète ici.
Invisible…
Il en va de même avec ces figures géométriques lardant le ciel, dont les composés nous retombent quotidiennement sur la tête. En pluies invisibles ou mélangés à la pluie. Et quelles pluies !!!! Parfois de filaments. Métaux lourds, nano toxiques (lire aussi) et bien d’autres cochonneries encore, sales. Des saletés éparpillées presque quotidiennement au firmament sous formes de traînées persistantes, mais pas seulement. C’est de la condensation (vous dit-on), rien d’autre. Sauf que la vapeur d’eau ne s’éternise pas, même pigmentée de kérosène. Et puis, comment expliquer l’absence de trainées certains jours sur les couloirs aériens tout aussi encombrés qu’à l’habitude ? Suit alors l’anathème magique des démasqués : Complotiste !!! Bigre… Bientôt passible de la chaise électrique, pour s’être interrogé. Et de se réclamer des lumières… (Mort de rire.) Des lumières obscurantistes ?
Il fut un temps où j’entrais chez les commerçants en leur disant
- Quel temps !!! Heureusement qu’ils n’ont pas encore trouvé de bouton. (Rire des clients dans la boutique, parmi lesquels des Paysans.)
Avant de découvrir, quelque temps plus tard, creusant le sujet, que cela était déjà fait depuis longtemps. J’en tombais de ma chaise. Bigre. Est ce possible ? Affirmatif ! Boum. Un gnon sur la tête. Merde !!!
Quel monde !!!
(Tenu par des tenancières de bordels. Chiotte !)
(Retrouvé dans les carnets de l’auteur après enquête votre Honneur.)
… Novembre 2014
Petite balade au milieu des vignes incroyablement printanière en cette saison. Avec des trainées dans le ciel – blanches. Comme ces trainées blanches des culottes exhibées dans le métro après des heures de bureau, entourées de barreaux. Des traces, qui s’installent et qui s’étirent de long en large. Le bal des avions mortifères vient de reprendre sous mes yeux en l’air. Première salve de lignes droites parallèles, qui bientôt formeront un quadrillage. Comme une grille cadenassée au dessus de nos têtes, trop occupées pour s’y intéresser. Combien sont ils de par le monde a participer de cette folie, persuadés d’échapper au destin funeste qui nous est réservé, a tous ? Leurs enfants compris. Idiots utiles disent certains… au service d’une poignée. Sans compter les sadiques que l’on retrouve partout dans les rouages de la machine. Faire le sale boulot du moment que l’assiette est remplie. Y prendre plaisir. Jusqu’au plus répugnant qui puisse être si nécessaire. Je connaissais déjà le problème, mais là, depuis trois jours, je dépiaute une vidéo trouvée sur internet et qui recoupe la plupart des sources déjà consultées sur le sujet. Claire, documentée, concise, de facture italienne. Serait-ce du terrorisme que d’envoyer des missiles portatifs sur ces avions de mort, qui pulvérisent tout, comme on pulvérise des insecticides mortels sur les vignes alentour, et les maisons qui les bordent ? Et dire que les imbéciles, réputés intelligents, diplômés, refusent de regarder en face ce qui se passe au dessus de leurs têtes, et de celles de leurs enfants. Des imbéciles, intelligents pourtant, capables de comprendre ce qui se trame dans le ciel, bien mieux que je le puis de là où je suis à ce point de mes connaissances.
… 28/11/2014
Le Temps est manifestement détraqué. Du moins cela en donne-t-il l’impression. Douceur printanière sur la terrasse en cette heure tardive. Trois heures du matin, l’heure d’aller se coucher mon brave.
… Avril 2015
On se croirait en été aujourd’hui. Réchauffement climatique disent-ils. Sauf que le bal des avions mortifères n’a pas cessé ces dernières années. Le bal des trainées ordonnancées est devenu exponentiel, même de nuit m’a t-on dit. Il faut que je vérifie.
Qui paient les poisons qu’on nous balance sur le coin de la trogne ? Avec la collaboration des crétins qui soit disant « dirigent », tels des croque-morts conduisant le cortège et le cercueil à la fosse commune. Des fusibles tout au plus. Des scélérats certainement. Sans aucun doute, comme dirait l’autre. Qui tire les ficelles ? Quelles conséquences sur la santé, l’environnement, le devenir de nos enfants ?
Sortant de la gare Saint Lazare mai 2015
… Mai 2015 Gare Saint Lazare
Ciel bleu. Plus pour longtemps si j’en juge par un rapide coup d’œil. La ronde des avions maintenant familiers commence à ensemencer. Pendant que les parigots têtes de veaux, avec du persil dans le nez et les oreilles, crament aux terrasses des troquets alignés comme des coquillages sur un fil à pêche. Bonne fête ! Jour de pont.
De bleu bleu à bleu laiteux, insidieusement, à pas chaussés sur la chaussée jonchée de dents sur le pavé, quand les effets se feront sentir. Tu perds tes dents ? Moi, c’est marrant, ce sont mes cheveux.
De bleu bleu à beleubeleu le ciel devient peu à peu laiteux vous dis-je, imperceptiblement. En regardant ces terrasses à la filée, je ne peux m’empêcher de penser à l’insouciance de ces animaux avant l’abatage, qu’il m’a été donné d’observer à quelques reprises. Couteaux, le sang qui coule avec des bulles. Des bulles qui moussent mais qui n’amassent pas mousse. Le sang qui coule, qui se répand dans une bassine. J’ai vu ça ! Le sang qui coule, qui se répand et le souffle de ces animaux, leurs tremblements, cette odeur, ce silence. Les mouches. Et cette passivité effarante de ceux qui attendent à côté, comme envoutés… Ces gens, instruits, promis au sacrifice, en attente, à ces terrasses de troquets. Ignorant de ce qui les attend, là, sous leur nez Charlie Bibi et Ribouldingue aux corneilles.
Un œil sur ces terrasses, un autre vers le ciel, je déambule, interdit, dubitatif devant le spectacle que m’offre les trottoir du 17eme arrondissement, « boboïfiés », comme tous ces quartiers vitrifiés où ils passent. Un arrondissement où ma troisième vie a véritablement commencé, alors que j’avais 17 ans & demie. En 76 ou en 77 ? Il faudrait que je vérifie. (Dix-septième, dix-sept ans, soixante-dix-sept, vite, téléphone à madame Lagarde du FMI, experte en numérologie.) Grand Maître de la finance « Mondialissime ».
(Fin de l'exergue)
La modification du climat par quelques uns à leur profit, au détriment de la terre entière, (dont ils se fichent), n’est pas de la science-fiction, ni même une élucubration, un roupie de sansonnet, un coup de parano, une affabulation… mais quelque chose de bien concret. Et, somme toute, d’assez effrayant, entre les mains de tels zigues allumés du ciboulot, sans vergogne et sans état d’âme quant aux conséquences. Dans les temps ancestraux, il y avait cette crainte que le ciel ne tomba un jour sur la tête des gens. Une crainte ancrée qui force l’humilité et pousse à prendre soin de ce qui fait, abrite et nourrit. Cette superstition est en train de se réaliser, de prendre corps par la main de l’homme lui-même – oui - le ciel est proprement en train de nous tomber sur la tête, avec force poisons qui rasent gratis. Parce que des « hommes » puissants, ivres d’eux-mêmes, qui ne doutent ni ne craignent rien, se sont mis en tête de contrôler également le climat. Des apprentis sorciers qui nous pourrissent l’air en catimini, bien en vue au dessus de nos têtes. D’où tiennent-ils ce permis ? Et de quel bras aurait-on le droit long d’empoisonner le Ciel, de le perturber, de le saccager ? Pour que ça colle avec le GIEC qui nous fait GIEC chaque année, à seule fin de nous chier sur la tête et de nous faire culpabiliser ? Créer le problème puis imposer une solution, pire que le problème déjà créé, et ainsi de suite… Telle est la mentalité qui les anime - et peu importe ce qui en découlera ensuite. Comment font-ils ?
Voici un fil…
Garde-toi bien de déranger le ciel plus qu’il ne t’est permis (disaient nos ancêtres), dans leur grande sagesse. C’est pourtant ce à quoi se livre en ce moment même une poignée d’emmanchés. En secret (jusqu'à l’arrivée de l’internet, d’où leur colère). En secret et pourtant bien là, en toute évidence, jour après jour, par centaines de tonnes à l’année. Et quand j’écris centaines de tonnes, c’est juste pour ne pas trop effrayer. C’est à la bonne adrénaline qu’il est fait appel ici, celle de l’instinct de vie. Celle qui donne des ailes et la victoire contre toute attente. À condition de savoir de quoi il retourne
La modification du temps (géo ingiénerie) par les hommes fut révélée en 66.
Dans quel but cette pratique ?
«Dominer les phénomènes naturels et utiliser ce pouvoir
comme arme pour contrôler d’autres peuples et d’autres pays »
Bigre !!!
Technologie visible dans le ciel et dans le monde entier, ou à peu près, depuis les années. Chemtrails, tel est le nom donné à ce nouveau bienfait de la secte, de l’ Alien qui s’est emparé de nos orteils. Chemtrails, pour traînées chimiques, au dessus de nos têtes. Presque chaque jour qui passe, dans toute la France et au-delà. Bien au-delà. Dans des régions reculées. (Ils ont exterminé les sorciers pour les remplacer par des apprentis sorciers, férus de magie noire et d’ésotérisme.) Chemtrails, un terme militaire à l’origine. Une arme exotique sous les palmiers de la pax américa et après moi l’enfer sur terre, le chaos, puis le désert. Mais les vérités finissent toujours par sortir de la bouche de gens honnêtes, au fond, fondamentalement.
Des voix s’élèvent et se diffusent un peu partout sur les réseaux, longtemps réservés a ceux qui dominent. Les mêmes qui détiennent au final ces armes clandestines, financées par les taxes et impôts des principales victimes. Un peu comme si les victimes d’un délit finançaient ceux qui vont le commettre. C’est fort !!! Respect. L’intelligence d’où qu’elle vienne doit être saluée. Qui ne reconnaît pas la valeur de son ennemi est assuré de se faire bouffer. Et on peut parler ici d’ennemis, puisque comme tels sommes-nous désignés par la clique de têtes à claques aux manettes :
"Il y a une guerre des classes, c'est un fait,
mais c'est ma classe, la classe des riches qui mène cette guerre,
et nous sommes en train de la gagner."
(Warren Buffet, milliardaire américain, 1ère fortune des Etats-Unis)
Si ces gens se contentaient encore de leur argent et de leur pouvoir, mais non, en plus ils nous veulent le plus grand mal. Un mal le plus répugnant possible. Est-ce possible ?! C’est juste sous nos yeux. Que faut-il de plus ?Toutes références à des armes toxiques ne doivent figurer nulle part. (Est-il révélé.) Le reste, on pourra toujours s’en arranger. Voilà pour l’état d’esprit. Un état d’esprit qui s’est diffusé dans le monde entier, ou presque, jusque dans nos chaumières. Au moyen de budget colossaux.
- Après tout on s’en fout. Ça ne me concerne pas.
Sauf que… La modification du climat par des pourceaux est en cours. Et cela nous concerne tous. Entre les mains de sages encore… Mais là, autant confier une arme chargée à des enfants dans une cours de maternelle. Après tout ce temps passé à chercher, je ne pense pas exagérer.
Pour finir, ce commentaire posté sur F.B. il y a quelques jours :
Continuer à dormir tout en bouffant de la merde par tous les orifices, avachis ? Faire des économies ? Dépenser l'argent de sa retraite maintenant ? Car à ce rythme « vandalistique » tous azimuts, il est peu probable d'y parvenir entier.
Nous sommes seuls petits frères
Seul votre souffle de vie peut encore renverser la vapeur
Rêvez le monde et "fête" le, sans attendre
Ce que l'homme imagine, il est capable de le réaliser
Dehors, personne ne vous attend et c'est à vous qu'il revient, en l'espèce, de prendre LA décision – Suprême – en Conscience
la disparition ou la pérennité de l'espèce
En même temps, quel défi sublime ! Et si on commençait par là : c'est quoi ton rêve ? C'est quoi ton rêve pour ce vaisseau incroyable qu'est cette planète, pour toi, tes enfants, tes arrière-petits-enfants ? C’est quoi le défi que tu es prêt à t’assigner pour toi, ta descendance et pour la Terre mère ? À la fois puissante et fragile. Jetez vos consoles, des fous veulent dicter leur loi aux grands éléments, (qui nous invitaient à leur table), quitte à renverser la table des lois qui irriguent ce monde, multivers, que nous découvrons à peine. Oh combien fantastique ! De l'infiniment petit à l'infiniment grand. Jamais dans l’Histoire connue des espèces l’une d’entre elle s’est trouvée en situation de décider, en conscience, de choisir entre sa disparition et la poursuite de son odyssée sur Terre, avec pour maxime, l’important c’est de durer. Le reste…
Mais ce n'est là que la vision d'un artiste plasti'cœur, écrite au milieu du bordel, celui de son atelier de troglodyte en phase pulsion créative. Si tu vois c'que j'veux dire...
Bernard-Alex Le Moullec
Artiste plasti’cœur
PS :
Bon sens,
n'est ni de gauche, ni de droite, il Est.
Il coule de source.
Les idéologies, les dogmes ne sont que sources de destructions massives.
Ils/Elles ne sont qu'idéologies de mort, inventées de toutes pièces dans des cabinets secrets. Objectif ? Nous diviser et nous couper de « l'essen'ciel ». Au train où vont les choses il te faudra bientôt payer pour entrevoir le bleu du ciel.
Alors debout,
au nom du bleu du ciel