26/12/2020
Noël masqué, bal détraqué, orchestré par des détraqués – masqués – du moins jusqu’ici. Bal plein à craquer pour assister, en silence, tête baissée, à la destruction des derniers piliers intérieurs qui restaient encore debout en chacune et en chacun.
Sans broncher ?!!
Brûler la charpente !
Écrouler la flèche
Miner les fondations !
Et l’édifice s’effondre
Sur la tête du plus grand nombre
La France est en danger !
L’effondrement de l’Humanité (grouillante pour certains), n’est-il pas en point de mire derrière tout ça ? Abolir le plus grand nombre tel est le credo en coulisse, n’est-ce pas ?! Souiller, souiller, souiller et il en restera toujours quelque chose (comme disait l’autre. Le grand-oncle de Laurent Alexandre ?). Comme de zigouiller son chien en place publique après l’avoir accusé d’être atteint de la rage. Sous les applaudissements des moutons promis à la tonte. Comme à la belle époque où les juifs, gitans, résistants, malades... furent désignés comme des chiens ayant la rage, justement. Bravo Laurent, au moins es-tu clair sur ton affiliation, comme Macron s‘inclinant sur la tombe de Pétain.
Une drôle d’humeur se répand actuellement dans l’atmosphère ambiante se dit-on. Voilà bien des décennies que cela a commencé pourtant. (Qui voulait voir ?) Une drôle d’humeur implémentée, d’abord par touches, jusqu’à la charge de cavalerie sabres aux clair à laquelle nous assistons. Contre nous tous. Sans distinction ! Avant extermination ? (En cours actuellement...)
Alors que les foules se gavaient d’inutile, en voici en voila... S’enroulait subrepticement le piège autour de sa victime, à la manière du Macrotal autour du cou français.
Réagira ?
Réagira pas ?
Par votre serviteur : Bernard-Alex Le Moullec
04/01/2021
Avant vœux !
Retranché dans un cabanon de jardin, à l'écart, je prends de l’avance, considérant que cette nouvelle année ne débutera, comme en 2017, que le 21 janvier. J’attends pour voir... Voir, percevoir, je ne lis pas dans les boules de cristal. Patience !
Cela dit, chaque année j’attends toujours quelques jours avant de souhaiter mes vœux, pour échapper à la ritournelle habituelle des formules toutes prêtes : Bonne année, bonne santé, bonheur et ainsi de suite... Genre Beaujolais nouveau, tous ensemble tous ensemble – ronds comme des barriques – comme chaque année, à heures fixes.
2021, pour le moins, constitue un enjeu colossal, ce qui mérite réflexion il me semble. L’agenda en cours consistant à éradiquer l’humanité de fond en comble, trop humaine pour les bêtes hideuses qui se sont emparé des commandes, avec pour projet de nous exterminer en masse, dans le but de s’emparer de la totalité des richesses de ce monde, créées par le plus grand nombre, que nous sommes. (Lire Shwab, l’excrément en chef de ce grand bord... génocidaire.)
Tueurs d’existences, ennemis de la Vie qu’ils considèrent comme une marchandise, voire une erreur de la nature qu’ils perçoivent comme étant contre nature. Refusant ses règles du jeu, à commencer par celle-ci : on nait, on meure, à chacune et à chacun son tour, son temps donné, gratis, à la naissance. D’où le transhumanime !Des peureux dynastiques se prenant pour Dieu, des Dieux, la trouille au ventre d’avoir un jour les yeux fermés sous des pelletées de terre. Avant décomposition de leurs corps bouffés par des asticots. Comme tout le monde. Vieille marotte génocidaire des parasites aux commandes depuis quelques siècles qui aspirent à l’éternité quitte à tuer, tuer, tuer... Ouvrir les yeux, même si ça pique un peu.
Qui se souvient des fadas de la cryogénie ?
Ce n’est pas d’aujourd’hui ni d’hier cette obsession pour l’éternité. Avec ses adeptes, grands consommateurs d’organes et de sang volés par les temps qui courent à notre perte, sous la férule de dérangés de la cafetière. Sous la férule des héritiers de l’immonde. La chair d’enfant étant particulièrement prisée en ce moment. Des tarés, dégénérés, à force de copuler entre eux depuis quelques siècles déjà. Des fadas qui relèvent de la psychiatrie, voire de la chaise électrique ou du peloton d’exécution en place publique.
Les mêmes qui considèrent que les êtres humains sont trop nombreux à leur gout. Alors que ces obsédés démoniaques ne rêvent que d’éternité pour eux-mêmes. Combien seraient-ils si ce nid de vérole éternelle s’en venait à se multiplier pour cause d’éternité dynastique. Même s’ils parvenaient à nous éradiquer comme ils en ont le projet, combien de temps leur faudrait-il pour qu’ils s’entretuent. Parce que trop nombreux. Allons-nous vraiment nous laisser dépasser par cette bande de malades mentaux qui se sont emparé du monde, par derrière ? Sournoisement ! Marque de fabrique de ces pervers déjantés depuis au moins 1000 ans.
À l’heure qu’il est, ils vivent un grand stress ; ce qui les amènent à se découvrir sans précaution, ainsi que leur jeu mortifère mondialiste. Pris au piège des pièges tendus par eux-mêmes aux populations du monde entier. Je serais tenté de profiter de l’occasion, en cette année 2021, pour leur mettre la tête au carré, avant de les rejeter dans les cages de la ménagerie dont ils n’auraient jamais dû sortir. Tel ce virus échappé de l’un de leurs laboratoires de guerre contre la Vie. Je serais tenté de nous souhaiter les uns les autres d’en finir avec cette vermine, en cette année 2021. Au final, je nous souhaite qu’un grand bonheur, une délivrance pour nous toutes et pour nous tous. En finir avec ces monstres pour dégager l’horizon de nos enfants.
Nous nous trouvons à une intersection incomparable dans l’Histoire Humaine, il nous reste à être à la hauteur. À nous, le grand nombre, le très grand nombre à qui revient l’honneur de relever le gant. À force de fermer les yeux nous nous sommes fait débordés. Mais il n’y a pas de fatalité ! Bonne nouvelle non ?! Y croire c’est un pas vers nos retrouvailles avec la Liberté vraie – et surtout – avec nous-mêmes. (L’une n’allant pas sans l’autre.)
Les monstres hideux d’aujourd’hui sont les plus dangereux jamais mis au monde par des êtres maléfiques se prenant pour des « z’élus ». Des cochons échappés de leurs porcheries ayant enfanté ces sangliers qui se reproduisent comme les rats d’égouts du monde entier. Blindés de maladies abjectes. Il suffit d’observer... Après la pédophilie instituée, bienvenue à la zoophilie et ses chimères... Qui n’en veut ?!
Pour en revenir aux vœux, en cette nouvelle année, point de formules creuses qui ne mènent nulle part. Si ce n’est se faire croire que... en évitant de regarder en face « la réalité ». Ce qui va à l’encontre des vœux formulés de bonne foi : bonne année, bonne santé, plein de bonnes choses et ainsi de suite... C’est se mentir. De faux espoirs. D’autant plus qu’en refusant de regarder la vérité en face il y a de fortes chances qu’il s’agisse là d’un facteur aggravant en terme de dommages et inconvénients qui s’amènent. Dans des proportions rarement vues auparavant, selon des sources de plus en plus nombreuses. Il n’y a pas de pétrin dont on ne puisse sortir, avec un peu de courage. Alors, courage !
Que dire dans ces conditions ?
En toute honnêteté...
Vérité ou mensonge ?
À l’heure où des temps extra-ordinaires s’apprêtent à bouleverser le monde, de fond en comble, pour le pire, au train où vont les choses, il me semble que le recueillement serait l’attitude appropriée, la mieux à propos, en ces heures déterminantes quant à la destination de l’épopée humaine sur cette planète. La nôtre, à tous, où que nous nous trouvions sur Terre.
Comme déjà écrit ailleurs, nous nous trouvons à un carrefour déterminant, comme jamais dans l’Histoire connue de l’espèce Humaine. Et même, de toutes les espèces, car pour la première fois une espèce est mise en situation, en l’espèce, de faire le choix, en conscience, de sa pérennité ou non dans le grand concert des galaxies. Vivre ou disparaitre de la surface de cette Planète ? C’est la question.
Destruction ou pérennité ?
Il faut choisir et c’est maintenant
Choisir ! C’est dans l’ADN de la liberté
Une certaine gravité ne devrait-elle pas s’imposer en de telles heures ? Plutôt que la gabegie comme impression de liberté qui n’est qu’impression sur catalogues sans horizon. Qui n’est que prison, enfermement.
Tournant ô combien crucial dans l’Histoire de la création, (encore à découvrir). Je ne cesse de le répéter : pour la première fois une espèce est mise en capacité de faire le choix entre pérennité et extinction totale – en conscience. Que choisirons-nous ? Vaincre ou disparaitre ? Car tel est le projet, au fond, faire tout disparaitre, de fond en comble.
Voilà, il me semble, ce à quoi nous nous heurtons pour le moment : la division...
Orchestrée certes, mais bon, avec notre consentement. Retirons-leur ce consentement et ils s’effondreront sur eux-mêmes, lâches comme ils sont. Et nous savons qui ils sont, avec noms et adesses.
Se libérer !
Voilà bien ce que je peux nous souhaiter en cette nouvelle année. Se libérer des griffes des possédants possédés par leurs possessions. Des envoutés maléfiques...
2020 n’ayant constitué qu’une mise en bouche en réalité, nous avons à nous faire du souci, sans un rebond salutaire du plus grand nombre que nous représentons, le très grand nombre : 99,99%. N’en va-t-il pas de notre avenir proche et de l’avenir qui en découlera pour nos proches ? Que souhaiter en de telles circonstances ? Que dire ? Quand la première urgence serait d’agir après s’être organisé sur la base de principes et de valeurs humaines, inspirées par le bon sens. Ce qui prend du temps. Et ce qui vient à grands pas nécessite de s’y mettre, là, tout de suite. Sans attendre. À l’écart des factions habituelles, toutes vendues au système qui nous tue. Sans vergogne ! Avec moult complicités des corps constitués, ou ce qu’il en reste. Des cadavres en décomposition avancée. Nous ne pouvons compter que sur nous mêmes.
Embarqués dans le goulot d’un entonnoir, que faire pour se donner une chance d’en réchapper ? Aux vues de la réalité ambiante il est indubitable que nous nous trouvons au milieu d’un piège. Quoi mettre en musique pour le déjouer ? Sauvons-nous les uns les autres, coudes à coudes, les égos dans la poche et nos mouchoirs dessus.
Que souhaiter ?!
Une bonne année que l’on sait bien pire encore que la précédente ?
Halte à l’hypocrisie ambiante, ça suffit !
L’Homme a besoin de faire société, c’est dans sa nature
L’en empêcher c’est le tuer à petit feu, pire que dans les chambres à gaz inventées par les mêmes tordus. Car ce sont eux déjà, leurs familles, qui étaient à la manœuvre à l’époque. Non pas les nazis mais ceux qui les ont créés pour le job.
En cette nouvelle année, retranché dans un cabanon de jardin à moins degrés, je ne peux que m’interroger, espérant que nous sommes un grand nombre à nous interroger. D’abord soi-même, puis avec d’autres, encore vivants, entourés de morts vivants. Sans jeter l’éponge comme l’ont fait les lâches qui nous tiennent lieu de représentants. Représentants en viande humaine vendue sur le marché international des êtres dépecés, encore chauds, sur les champs de bataille fomentés de toute pièce.
J’ai mené de nombreuses batailles sur des terrains multiples, depuis l’enfance, ne pouvant me résoudre à baisser les yeux et encore moins la tête. Aussi ne puis-je que nous souhaiter la pire des choses qui puisse leur arriver : Solidarité, entraide, front commun, proximité, justice, partage, cohésion, fraternité, ripostes asymétriques jusque dans leurs logis... Cohérence , esprit d’équipe, face aux monstres bien décidés à nous exterminer jusqu’au dernier, sans même plus s’en cacher. Il suffit de les lire dans le texte.
En finir avec ces détritus de la pire engeance.
Et nous n’avons plus de temps à perdre car bientôt nous seront tellement affaiblis que nous n’aurons plus assez de force pour nous défendre. Le temps est venu d’activer notre instinct de conservation, qui n’est autre que l’instinct de Vie. Ce pourquoi nous nous trouvons sur Terre : Vivre. N’ayez pas peur, ils ne sont rien que des excréments de pourceaux abjects.
Légitime défense !!!
Laisserons-nous ces rats se perpétuer encore longtemps ?
Janvier 2021
Pour en revenir aux vœux (comme déjà écrit), en cette nouvelle année, point de formules creuses qui ne mènent nulle part. Si ce n’est se faire croire que... en évitant de regarder en face « la réalité ». Ce qui va à l’encontre des vœux formulés de bonne foi et langue de bois : bonne année, bonne santé, plein de bonnes choses et ainsi de suite et chacun pour soi... C’est se mentir. De faux espoirs. D’autant plus qu’en refusant de regarder la vérité en face, il y a de fortes chances qu’il s’agisse là d’un facteur aggravant des dommages et inconvénients qui s’amènent. Dans des proportions rarement vues auparavant selon les sources. Bien pire encore que les heures les plus terribles de notre Histoire est-il écrit ça et là depuis un bon moment déjà.
Que dire dans ces conditions ?
En toute honnêteté...
Vérité ou mensonge ?
Franchise ou hypocrisie ?
En cette nouvelle année et pour certains d’entre nous, dernière année, (paix à leurs âmes), zigouillés à coups de vaccins Mengele, marque de fabrique de l’Allemagne associée cette fois-ci aux États-Unis créés sur un génocide immonde, perpétué au moyen de la variole. Beurk ! à VOMIR.
21/21 Mes vœux
À l’heure où des temps ex-traordinaires s’apprêtent à bouleverser le monde, de fond en comble, pour le pire, il me semble que le recueillement serait l’attitude appropriée, la mieux à propos, en ces heures déterminantes quant à la destination de l’épopée humaine sur cette planète. La nôtre, à tous, où que nous-nous trouvions sur la Terre. Tous frères et sœurs...
Nous-nous trouvons à un carrefour déterminant, comme jamais dans l’Histoire connue de l’espèce Humaine. Et même, de toutes les espèces, car pour la première fois une espèce est mise en situation, en l’espèce, de faire le choix, en conscience, de poursuivre ou non l’épopée Humaine. Vivre ou disparaitre de la surface de cette Planète ? C’est la question. Détruire ? Ou construire ? Deux camps. Pour le moment c’est le camp des destructeurs compulsifs qui a pris le pouvoir. Il nous revient de les éradiquer jusqu’au dernier ou disparaître ; les survivants réduits à l’esclavage, pucés comme des bêtes jusqu’à la nuit des temps si cette racaille immonde en réchappait. En finir !
Destruction ou pérennité ?
Une certaine gravité ne devrait-elle pas s’imposer en de telles heures ? Plutôt que la gabegie comme impression de liberté qui n’est qu’impression sur catalogues sans horizon.
Tournant ô combien crucial dans l’Histoire de la création, (encore à découvrir). Je le répète une fois encore : pour la première fois une espèce est mise en capacité de faire le choix entre pérennité et extinction totale – en conscience. Que choisira t-elle ? Que choisirons nous ? Vaincre ou disparaitre ? Car tel est le projet sur la table, revendiqué, assumé. Voilà, il me semble, à quoi nous nous heurtons : La division... Y mettre un terme pour vaincre la vermine qui nous mine.
Se libérer !
Voilà bien ce que je peux nous souhaiter de mieux en cette nouvelle année, mal barrée. La Trompette ayant cédé le pas à un Bidet qui pue la merde. Maquereau, Bidet...
Se libérer des griffes des possédants possédés par leurs possessions, comme envoutés... Leur couper l’herbe sous le pied. Se dérober sous leurs sabots de boucs hideux ; au besoin saboter ces sabots afin qu’ils s’écroulassent sur eux-mêmes, les prenant à leurs jeux pour les mettre en pièces.
Voilà ce que je vous souhaite – ce que je nous souhaite – recouvrer le courage de nos ancêtres et leur foutre la pâtée. Nous sommes le nombre, le très grand nombre alors qu’ils ne sont qu’une poignée. Serrons-nous les coudes et ils ne feront pas un pli, d’autant qu’ils sont en panique. D’ici la fin de l’année ce problème pouvant être réglé. À la condition de prendre sur nous et de leur foncer dans le chou. C’est ça ou disparaitre dans des conditions horribles. À moins de leur foncer dedans, à l’écart des factions politiques et autres, financées par nos pires ennemis. Il ne tient qu’à nous de nous débarrasser de cette épine dans nos pieds pour revivre. Voilà ce que je peux souhaiter de mieux à toutes et à tous.
Gros bisous ! Sans masque, à visage découvert !
Bien à vous
Bernard-Alex Le Moullec
Artiste plasti’cœur à ses heures
PS : Ensemble nous vaincrons ces cloportes
Les hommes de Davos veulent liquider l'Occident
par Olivier Demeulenaere. " Tandis que les guignols de la politique liberticide exigée par les oligarchies de Davos poursuivent leur saignée de l'économie, on annonce que la France a perdu 61 ...
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